Elodie & Nash présentent.... Atchick Atchik Atchik, A.I., A.I., A.I. …
Elodie & Nash présentent.... Atchick Atchik Atchik, A.I., A.I., A.I. …
Cette Newsletter vous invite dans le monde en mouvement que nous partageons avec vous : nous y parlons d'innovation, de transformation, de grandes idées, de culture et d'entrepreneurs.
🏜 WHISPER OF THE VALLEY
👽 ChatGPT va gagner de l’argent !
⚡ Ca gueule chez Google Cloud !
😵💫 De l’IA partout jusque dans ta poche…
🦋 IA et Environnement : notre salut ?
🍔 FOOD FOR THOUGHT
🙈 5 conseils pour les CPO en 2023
🌐 FRIENDS AND NETWORK
🥂 Deviens caviste ou tavernier
🗄️ Mes petits papiers
⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE
Edito by Nash :
Où sont passés les milliards d’Euros du plan IA à la suite du rapport Villani ?
On parle beaucoup de chatGPT, on regarde passer un peu le train, à la mode Européenne de ces dernières années et l’on se statisfait un peu quand même que « de nombreux ingénieurs et développeurs de OpenAI sont français » !
WTF !?
La réalité c’est que l’on a tout ce qu’il faut ici, en Europe, pour bâtir ces champions de demain. La remise en cause par OpenAI d’un modèle comme celui de Google est la preuve que rien n’est éternel et que les innovations de ruptures bien menées nous portent vers des horizons extraordinaires !
La prise de contrôle du politique sur des sujets comme l’hydrogène, l’IA, le nucléaire, le spatial ou la robotique nous renvoie à des visions au mieux « actuelles », le plus souvent pour le pire, « archaïques » ! Le politique (en France mais le constat est valable en Europe aussi !) est culturellement arriéré en matière d’innovation, ou dès qu’il s’agit de sujets scientifiques, et ne risque pas de nous envoyer dans le futur ou de fournir une roadmap pour le développement des technologies d’après-demain !
Alors que faire pour que cela change ?
J’entendais récemment que ChatGPT aurait du être Européen et que si l’on se référait à ce fameux rapport de 2018 de Villani, ça aurait pu être possible. Si seulement on avait suivi le chemin préconisé à l’époque par le médaillé Fields ! Mais alors à quoi ont servi les milliards mis sur la table à l’époque ? Maintenant que Bruno Bonnel est à la tête du SGPI, que sont les perspectives en matière d’intelligence artificielle ? Va-t-on essayer de courir après ChatGPT ou nous lancer à l’assaut de l’étape d’après ??
Quelle est d’ailleurs l’étape d’après ? On parle déjà cette semaine des API d’OpenAI pour ChatGPT… A-t-on perdu cette bataille aussi ?
En cette semaine de mouvement populaire de mécontentement face à la réforme des retraites, peut-être serait-il souhaitable de mettre un peu d’IA au gouvernement, chez les syndicalistes, et à l’Assemblée ?
Blague à part, mettre de l’IA à l’école, là encore, il y a un véritable sujet d’avenir à prendre à bras le corps : on n’a pas encore entendu le ministre de l’Education Nationale à ce sujet, pas plus de de grandes réactions intelligentes et éclairées en la matière, de la part de ceux qui sont sensés préparer nos enfants au monde de demain… députés, recteurs, profs, pour l’instant, on a plutôt gouté amèrement à des mous circonspectes et à des critiques de comptoirs qu’à des prises en mains du « taureau IA ».
Espérons qu’un jour, l’Homme augmenté saura prendre des décisions en connaissance de cause… un jour peut-être ?
Allez : prends-soin du Rock n’Roll et garde-toi du mal pendant les grèves !
« Whisper of the Valley »
ChatGPT va gagner de l’argent… et plus vite que ça !
OpenAI a rencontré un franc succès avec ChatGPT… et c’est peu de le dire ! Avec près de 100 millions d’utilisateurs mensuels en décembre, des centaines de livres à son crédit dans la biblio d’Amazon, quelques faits d’armes comme un concours passé avec mention à Harvard et au moins un article scientifique pondu récemment, c’est un carton plein !
Mais jusqu’à maintenant, pas de business model claire !
Enfin, si ce n’est le ChatGPT Plus, version premium annoncée en janvier.
Mais cette semaine, l’artillerie semble de sortie ! OpenAI nous présente son API permettant à toute entreprise d’intégrer ChatGPT à son activité (applications, sites web, services, produits !).
Le CEO d’OpenAI, Greg Brockman reconnait qu’il faudra attendre un peu que les API soient au niveau, mais qu’il a toujours été question de sortir des API, dès le départ ! Elles fonctionnent déjà sur le moteur le plus puissant de générateur de textes de OpenAI, soit GPT-3.5-turbo (le turbo étant le nom de code de la version sur-vitaminée testée actuellement par OpenAI).
Prix fixé ? 0,002$ pour 1000 jetons (soit autour de 750 mots), l’API peut piloter bien plus que des services de textes et pour preuve, elle compte déjà comme premiers clients des applications « non chat » comme Instacart, Snap, Shopify…
Si OpenAI semble toutefois pressé de trouver un business model à la hauteur de son succès, c’est tout simplement parce que les dépenses de la boite sont qualifiée de « vertigineuse » par tous les observateurs et des sources internes ! (quelques centimes par coût de calcul, mais avec le nombre d’utilisateurs, ça grimpe vite !!)
On retrouve l’API dans « myAI » le chatbot de Snap, mais aussi dans Ask Instacart, le personal shopper nutritionniste d’Instacart, Shopify a fait quelque chose de plus classique en installant un assistant personnalisé de recommandation d’achats… on reste quand même dans le même registre peu ou prou !
L’API devra au même titre que le grand frère ChatGPT régler les problèmes de biais, et devra résister aussi aux attaques cherchant à induire ses réponses en erreur (racisme, sexisme, inventions de réponses, révélations dignes d’un espionnage industriel, etc…).
Pour l’heure, et pour ne prendre aucun risque, OpenAI focalise sur quelques gros clients et renforce son bot en l’entrainant de mieux en mieux et en éduquant aussi les utilisateurs à mieux présenter leurs requêtes pour éviter les sorties de route. Cependant, sous peu, Greg Brockman aimerait proposer la même chose au grand public, ce qui, étant donnés les énormes investissements consentis par Microsoft notamment, n’est finalement pas étonnant !!!
Ca gueule chez Google Cloud !
« la partie n’est pas finie dès la première minute ! » Voilà en quelques mots le discours de motivation qu’a tenu le patron de Google Cloud Thomas Kurian, la semaine dernière à ses troupes, les conjurant de terrasser OpenAI promptement et avec éclat ! Il n’hésita pas non plus à dénigrer un peu la concurrence, rappelant leur valeur à ses troupes !
Même si la concurrence s’en prend au boulot de Google, à la position de domination historique, il a su trouver les mots dans ce discours enflammé pour galvaniser l’engagement de ses troupes !
Ce discours fait sans doute écho à la qualification par le CEO de OpenAI de « monopole de recherche endormie » ou monopole léthargique de recherche… quand il parlait de Google. Quoiqu’il en soit, la filiale d’Alphabet l’a bien pris pour elle et s’en sert désormais pour réveiller les forces vives qui doivent partir à l’assaut de l’IA dans la Silicon Valley !
Kurian qui considère que l’on en est aux balbutiements de l’histoire de l’IA façon ChatGPT émet une crainte que nos dirigeants Européens feraient bien d’adopter : « ne laissons pas le train filer devant nos yeux ! Rien n’est joué avant la fin de la partie ! »
Ce discours reflète la manière et l’urgence dans lesquelles travaille Google aujourd’hui sur le chantier de l’IA. L’entreprise n’a d’ailleurs pas souhaité commenter les fuites concernant le discours de Kurian ! Le PDG d’Alphabet, Sundar Pichai a demandé à chaque employé de consacrer entre 2 et 4 heures à la formation de BARD le concurrent maison de ChatGPT, ce qui montre à nouveau le niveau d’anxiété du groupe quant à ces sujets !
Des sources internes relatent des railleries de la part de certains employés à l’égard de BARD qui ne serait pas « au niveau » et des mécontentements relatifs à l’effort dévolu à l’entrainement de cette IA !
De l’IA partout ! Jusque dans ta poche…
Melany, la nouvelle app mise en ligne sur Product Hunt cette semaine, est un coach personnel de fitness et de nutrition… utilisant l’IA pour faire fonctionner son chatbot.
C’est un déferlement de ces nouvelles technos sur le monde des outils conversationnels que nous observons depuis quelques mois. Et là, ça y est, le B2C se prend au jeu.
Avec Melany.ai, la conversation se fait tout comme sur ChatGPT, de façon fluide, avec des réponses quasi en temps réel, sur un ton et une syntaxe totalement « humains » au point que quelques phrases suffisent à nous faire oublier que l’on discute avec un robot !
L’application est très récente. Et d’autres existent (Boost, Future, MikeAI…) qui avant elle, mettent l’IA au centre de leur expérience utilisateur, qu’il s’agisse de faire du profiling, de matching, de suivi ou d’augmenter l’expérience d’un coaching 1-on-1, l’IA s’invite dans toutes les apps les plus récentes dans ce domaine.
Melany.ai est totalement gratuite, sans besoin de s’inscrire, on peut directement engager une conversation avec le coach sans s’enregistrer, depuis internet !
Julian Renard, le fondateur de Melany.ai envisage de lancer plein de bots « spécialisés » comme celui-ci.
Nous ne savons pas encore s’il s’agit d’une récupération de techno de OpenAI ou d’une autre source, mais il y a fort à parier que la techno derrière l’outil n’est pas ‘propriétaire’ !
A suivre !
Intelligence artificielle & environnement : notre salut ?
Comment l'IA est-elle utilisée dans le domaine du changement climatique ?
L'IA peut jouer un rôle important dans la lutte contre le changement climatique de diverses manières, évidemment. Aujourd’hui toutes les pistes possibles sont même étudiées, testées, et une véritable course contre la pollution s’est enfin lancée dans le monde entier. Cependant, quelques grands domaines d’activités sont faciles à délimiter. En voici quelques exemples :
1- Modélisation du climat : l'IA est utilisée dans la modélisation du climat pour nous aider à mieux comprendre comment le climat évolue et à prévoir les scénarios futurs. L'IA peut analyser de grands ensembles de données pour identifier des modèles et des tendances que les chercheurs pourraient ne pas remarquer. L’IA peut nous aider à mieux comprendre les impacts du changement climatique sur l'environnement, les personnes et l'économie.
2- Optimisation des énergies renouvelables : l'IA permet d’optimiser les systèmes d'énergie renouvelable, tels que l'énergie éolienne et solaire, afin d'accroître leur efficacité, de tester leur stockage et de réduire leurs coûts. Les algorithmes d'IA peuvent prédire les schémas météorologiques et ajuster la production d'énergie en conséquence, réduisant ainsi le gaspillage (sans stockage) et en augmentant la fiabilité.
3- Gestion de l'énergie : l'IA optimise les systèmes de gestion de l'énergie en réduisant les déchets, la pollution. L'IA peut analyser les modèles de consommation d'énergie et ajuster l'utilisation en conséquence, réduisant ainsi les coûts et les émissions de carbone.
4- Capture et stockage du carbone : l'IA est utilisée pour développer des technologies de capture et de stockage du carbone plus efficaces et plus rentables. L'IA peut aider à identifier les emplacements opportuns pour les installations de captage et de stockage du carbone et développer des algorithmes pour optimiser leurs performances.
5- Adaptation au climat : L'IA permet de développer des outils permettant aux communautés de s'adapter aux impacts du changement climatique, tels que l'élévation du niveau de la mer et les événements météorologiques extrêmes. L'IA peut être utilisée pour analyser les données des satellites et des capteurs afin de prévoir et de suivre ces événements et de fournir des systèmes d'alerte précoce.
Aujourd’hui, l’essentiel de l’IA intégrée aux études relève de l’anticipation, des modèles prédictifs. Cependant, et de plus en plus, on intègre l’IA pour de la gestion en temps réel, pour du correctif live, pour aider au pilotage, à la prise de décisions sur le très court terme. On le voit dans la gestion des réseaux électriques par exemple.
Quand on parle de climat, on pense évidemment aux pénuries d’eau qui frappent actuellement notre pays, et aux modèles qui pourraient nous aider à allouer correctement les ressources raréfiées en fonction des besoins des populations, des plantations et exploitations agricoles, etc. sur un temps court, afin de mieux gérer les pénuries et les rationnements, de traiter les sujets par zones et non pas via la loi (souvent « one size fits all » !). Sur le moyen/long terme, et pour le même sujet, on devrait pouvoir compter sur l’IA pour aider à réintégrer des haies et des clôtures végétales dans nos exploitations pour permettre aux sols de récupérer l’eau comme il le faisait avant l’agriculture intensive !
De l’IA au secours de la planète ? Pourquoi pas ?
« Food for Thought »
5 conseils pour les CPO pour tenir en 2023 !
Alors que les entreprises réduisent leurs coûts pour allonger leur runway, voici comment les chefs de produit peuvent tirer le meilleur parti d'une situation difficile :
1- Se concentrer sur la monétisation :
Le marché a radicalement changé l'année dernière. Les fonds de capital-risque ont adopté une approche prudente et conservatrice qui a entraîné une baisse de 35 % du financement en 2022, et si les premières semaines de 2023 sont une indication, cette tendance devrait se poursuivre. "La croissance à tout prix" n'est plus une bonne idée.
Cette année, les chefs de produit devraient se concentrer sur la monétisation pour faire face au manque de liquidités. Il sera utile d'équilibrer le CAC et la LTV, d'optimiser les taux de conversion et de comprendre la tarification, les offres groupées et les niveaux d'abonnement.
2- La fidélisation est reine :
Il n'y a aucune raison de penser à la croissance si votre rétention est insuffisante.
Pour voir vraiment ce que vous pouvez accomplir, expérimentez les paywalls, essayez le cadre Psych'd de Darius Contractor et mettez en œuvre des modèles de prédiction pour gérer le ratio LTV/CAC et générer un flux de trésorerie positif.
3- Tirez parti de la banalisation de l'IA :
À la fin de l'année 2022, OpenAI a connu un tel succès avec ChatGPT que Google est devenu nerveux, et aujourd'hui, les entreprises versent des millions pour construire des technologies d'IA similaires à ChatGPT. L'essor rapide de ces plateformes d'IA a également suscité des inquiétudes quant au fait que l'IA finirait par remplacer un grand nombre d'ingénieurs et de chefs de produit, et ces inquiétudes ne sont pas apaisées par les licenciements en cours dans les entreprises technologiques.
Mais vous pouvez considérer cette banalisation de l'IA comme une opportunité. En effet, il existe une infinité de façons d'utiliser et de tirer profit de cette technologie en plein essor.
L’IA est aussi bien pratique pour préparer des prototypes, générer du contenu adapté au référencement et susciter des idées.
4- Apprenez à connaître votre public :
Si l'IA permet aux équipes produits d'accélérer les processus, les commentaires des utilisateurs restent une source cruciale d'informations.
Les services et outils de recherche sur les utilisateurs (tels que UserVoice, UserTesting et Smart Look) permettent aux chefs de produit de comprendre les besoins de leur public cible et de construire des produits qui ont de la valeur.
Les résultats sont importants, mais ils ne peuvent être durables et évolutifs que si des processus appropriés sont en place. Pour que les processus de recherche utilisateur et de développement client fonctionnent et en tirent profit, vous devez avoir quelqu’un en charge de ces aspects. Si votre équipe n'en est qu'à ses débuts, un chef de produit peut orchestrer les activités de recherche utilisateur dans le cadre de ses responsabilités. Cependant, au fur et à mesure que vous vous développez, assurez-vous d'avoir une personne qui se concentre sur la recherche utilisateur.
Un chef de produit doit faire de ses conversations avec les utilisateurs, une habitude. Chaque conversation doit viser à obtenir des connaissances spécifiques qui seront utiles :
- Remplissez le backlog d'hypothèses.
- Classez-les par ordre de priorité en fonction des objectifs de l'entreprise.
- Réaliser des expériences (pour améliorer la LTV ou le CAC).
- Personnaliser les expériences des utilisateurs
- La personnalisation est désormais attendue d'emblée, mais vous ne pouvez pas proposer une solution unique.
Si vous disposez de ressources limitées, vous pouvez vous concentrer sur un fragment de vos utilisateurs - une forte minorité qui, si l'on en juge par le principe de Pareto, représente environ 20 % de vos utilisateurs et compte pour 80 % des résultats financiers. Dans certains modèles économiques, la part de ces utilisateurs peut être encore plus faible.
L'une des façons d'utiliser une UX hautement personnalisée est de mettre en œuvre des ‘tests bandit’. L'automatisation de ces expériences vous permet d'atteindre un niveau de préparation optimal et de fournir aux utilisateurs l'expérience la plus pertinente.
En outre, en appliquant des algorithmes ML (et l'IA générative, lorsque cela est possible), vous pouvez optimiser l'onboarding de votre produit avec les étapes et les visuels les plus efficaces (en termes de taux de conversion) simplement en exécutant des expériences d'optimisation continue.
5- Optimiser l'activation et la rétention des utilisateurs :
La rétention est clefs, on l’a vu ! (point 2) Pour faire monter le plateau de rétention, vous devez vous concentrer sur l'activation.
L'activation est un point de la courbe de rétention où la ligne s'aplatit et se transforme en plateau. D'un point de vue différent, travailler sur l'activation est similaire à travailler sur le taux de désabonnement. Les deux sont essentiels pour avoir une rétention forte et saine.
Essayez d'envisager l'activation comme un premier rendez-vous où vous voulez faire une première forte impression. Vous voulez probablement être accrocheur et vous souvenir de vous de manière positive. Vous voulez éviter de vous retrouver parmi ces produits qui perdent 77 % de leurs utilisateurs actifs quotidiens au cours des trois premiers jours ou qui n'obtiennent aucune réponse par la suite.
(toujours du contenu pour nos managers et nos founders via First Round Review !)
Stop the BULLSHIT !
Pour rappel, ce mercredi, comme un mercredi sur deux, tu retrouves Pierre Gaubil qui est notre invité pour conseiller, débriefer et renforcer le pitch d’un fondateur de startup ou simplement pour parler d’une phase clef de la vie des startups ! C’est avec toi, grâce à tes questions, et c’est à midi et demi, pour t’aider à apprécier votre Pokebowl.
On t’attend et pour encore plus de plaisir, n’hésite pas à nous retrouver sur notre page YouTube !
« Friends and Network »
Annonce emploi du côté de l’Ouest parisien !
Des media et du numérique au bar à vin, Arnaud Morisse a réalisé le rêve de gosse de bon nombre de bons vivants parmi lesquels votre serviteur !
Il y a maintenant 3 ans, Arnaud (et son associé Romain) a donc changé de vie pour envahir Courbevoie à coup de bon pif et de joie d’accueillir ! Et malgré le timing (Entre deux couvre-feu, Trois variants et quelques masques…) et bien que je n’habite pas Courbevoie, le succès est au rendez-vous !
Si bien même, qu’il est actuellement à la recherche de nouveaux collaborateurs pour ouvrir de nouvelles échoppes, partager la même passion et créer une aventure plurielle, autour du jaja, du pif, du pinard, des quilles, et pas que, parce qu’il y a aussi un côté épicerie dans les Caboulot d’Arnaud ! Oui, quand on aime les bonnes choses, on aime les bonnes choses !
Alors si vous voulez changer de vie, changer de vue, changer de quotidien, poussez la porte de Caboulot ou mieux, poussez la porte du Linkedin d’Arnaud pour postuler et rejoindre l’autoroute du kif qu’il vous propose !
Rejoignez les deux nouvelles sœurs de Caboulot : Charcote à Bois Colombes ou Gargote à Courbevoie… et comme on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même je laisse les mots d’Arnaud vous convaincre de son engagement et de sa vision : « deux épiceries fines et caves à vin. Des vins bio et nature, des jolies terrines, les meilleurs saucissons de France, du chocolat un peu fifou, du café de grande classe, des bières locales (exclusivement des Hauts de Seine !), des confitures artisanales, nos sandwichs, du pain frais d'artisan, des viennoiseries confectionnées par nos soins, des huiles d'olive rares, des charcuteries de chez nous et surtout sans nitrite.... Bref que du bon, principalement du bio et du local quand c'est possible et avec tout qui a été goûté avant d'être sélectionné ! Idéal pour des apéros d'anthologie ou des cadeaux mémorables ! Evidemment, les deux endroits seront aussi des relais de La Ruche qui dit Oui, histoire de vous fournir aussi de beaux légumes de saison bien frais ! »
Voilà !
Besoin d’aide avec les papiers ? Besoin d’un bras droit administratif ?
J’ai connu Sarah alors que nous travaillions tous deux pour des secteurs d’activités beaucoup plus « youplabooom tralala » qu’aujourd’hui ! J’étais journaleux pour France4 ou assistant de prod pour Canal, je ne sais plus, et elle était attachée de presse chez Universal… on se voyait pour parler musique et rigolade, media et concerts privés…
Bref ! de l’eau a passé sous les ponts. Sarah est devenue entrepreneure et depuis Bordeaux elle accompagne maintenant d’autres entrepreneurs en leur permettant de se décharger d’un paquet de leur charge mentale !
Comment en est-elle arrivée là ? Eh bien Sarah a quitté les saltimbanques peu après moi, autour de 2018… et elle a bourlingué du côté de la com et des RH de Talentsoft, histoire de prendre le pouls des boites plus classiques que celles d’où l’on venait !
Aujourd’hui, Sarah a lancé Mes petits papiers, une société de conseil en gestion administrative hyper adaptée aux boites en cours de structuration, ou aux startups qui n’ont pas encore levé : Sarah vous accompagne pour des tâches courantes administratives mais aussi en gestion RH, en services généraux, en gestion ‘pré-compta’, avec un seul souci en tête, vous faire gagner du temps, vous permettre d’optimiser vos marges en focalisant sur le cœur de votre business !
Et vous l’aurez compris, Mes Petits Papiers est née à Bordeaux, mais officie dans toute la France ! Alors n’hésitez plus ! Faites-vous accompagner par les meilleurs !
« Tendances de la semaine »
Un livre : J’adore la prospective. Je travaille avec des futuristes. Je vous invite donc à lire le livre de Anne-Caroline Paucot, prospectiviste et autrice de ce « Dico des métiers de demain » !
Demain,
Des aspironautes nettoieront l’espace.
Des échoueurs valoriseront nos échecs.
Des bothanothérapistes aideront les anciens à planter des choux à la mode du bien vieillir.
Des numéropathes soigneront les dommages commis par abus de numérique.
Des froigivillistes refroidiront les villes.
Des génothiciens géreront les problèmes éthiques liés aux modifications génétiques.
Détecteur de tendances, le Dico a pour ambition d’aider les entreprises à identifier les compétences nécessaires pour demain.
Mettant de la poésie dans le futur du travail, il espère aussi faire rêver les plus jeunes et les inciter à valoriser leurs talents.
Le Dico des métiers de demain est en construction. Au fil du temps, il sera augmenté des métiers de différents secteurs d’activité.
Un son : l’album de Wax Tailor, Fishing for Accidents sorti le mois dernier mérite votre attention… même si ses 20 ans de carrière ne me rajeunissent pas, ça mérite ! « Moderne, Nostalgique, Classique et Efficace » comme le dit Christophe, disquaire Fnac à Chambé !
Un autre truc : cette semaine, un rond-point, une station-service, un péage, tout sera prétexte à de la franche rigolade citoyenne, apparemment ! Donc je ne sais quoi vous recommander face à autant de choix ! 😊