Elodie et Nash présentent...

Share this post

Elodie & Nash présentent... Duel au sommet : ChatGPT vs Google BARD

lightmeupinnovationstudio.substack.com

Elodie & Nash présentent... Duel au sommet : ChatGPT vs Google BARD

Cette Newsletter vous invite dans le monde en mouvement que nous partageons avec vous : nous y parlons d'innovation, de transformation, de grandes idées, de culture et d'entrepreneurs.

Light Me Up
Feb 8
1
Share this post

Elodie & Nash présentent... Duel au sommet : ChatGPT vs Google BARD

lightmeupinnovationstudio.substack.com

🏜WHISPER OF THE VALLEY

  • 🆕 Artifact, le nouveau projet des fondateurs d’Instagram !

  • 💬 ChatGPT peut trembler : ça BARD avec Google !

🍔 FOOD FOR THOUGHT

  • 🤔 25 conseils, part. II

  • 🚦Stop the BULLSHIT !

🌐 FRIENDS AND NETWORK

  • 🟩 Fabric rend la transformation facile, utile, et agréable…

  • 💡 NRGYbox, et la lumière fut !

  • 📺 Émissions en séries par Light Me Up !

⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE


🖊 EDITO by Nash

« La seule fonction de la prévision économique, est de rendre l'astrologie respectable » disait l’économiste américain John Kenneth Galbraith. Et les temps qui courent ne lui donnent pas tort ! Rares ont été les années où les prévisions ont été aussi fausses que sur les quelques mois que nous venons de passer.

Croissance, pouvoir d’achat, budget de l’état, taux directeurs, inflation…

Si l’on reprend les discours d’il y a encore 3 mois, la peinture sombre qui était dressée à court terme, était la norme derrière laquelle économistes, directeurs d’instituts et politiques se rangeaient bien volontiers.

Aujourd’hui, on nous annonce que rien de ce qui était prévu ne s’est passé. Que tous les indicateurs sont au vert. Que c’est la fête.

Soit.

1 milliard de plus de recettes fiscales supplémentaires, 19,5 milliards en moins au déficit de l’Etat, toujours pas de récession (mais au contraire un Q4 positif et une année à 2,6% de croissance), en somme, ajouté à un chômage qui continue de baisser, on se demande où l’on en serait sans cette guerre qui gronde en mer Noire !?

Et dans le vacarme des optimistes retardataires et de ceux qui vous rappellent que « ils vous l’avaient dit », les économistes s’écharpent déjà pour nous dire ce dont demain sera fait… comme toujours.

Alors les signaux faibles (ou moins faibles !) sont là : massif engagement de l’argent public, importation de l’inflation qui commence à se faire sentir dans les « seconds tours » (quand les salaires commencent à se conformer et augmenter aussi), inconnues liées au grand retour de la Chine sur les marchés (et notamment des matières premières), poursuite du conflit en Ukraine…

Mais ce qui m’amuse, moi, c’est que la science a fait des progrès en astronomie, en médecine, en modélisation, en infiniment petit et infiniment grand, en IA, et même en météo !!!… mais que l’on a toujours un mal fou à sortir une vision à court et moyen terme en économie !

Alors évidemment, on touche aux comportements humains, à une conjonction d’une multitude de paramètres et de contextes, mais quand même, l’économie est la seule matière pour laquelle il n’est pas forcément faux de dire que 2 et 2 font 5….

Ma recommandation ? Face à ces masses d’informations pas toujours alignées, face à leurs interprétations politiques systématiquement opposées, pense à varier tes sources d’information, à croiser les données et à te forger quelques convictions personnelles ! C’est d’autant plus urgent que, ne nous le cachons pas, les Français sont nuls en économie ! Alors avant de compter sur l’éducation, comptons sur nous-mêmes !

Quant à tes convictions, elles ne vaudront de toute manière pas moins que celles de nombreux bookmakers économistes, et elles te feront briller au prochain dej de famille !

Encore une bonne raison pour prendre soin du rock n’roll et se garder du mal !

😊


🏜 « Whisper of the Valley »

🆕 Artifact, le nouveau projet des fondateurs d’Instagram ! (Articles, Facts & Artificial Intelligence)

Kevin Systrom et Mike Krieger sont de retour. Les co-fondateurs d'Instagram, qui ont quitté Facebook en 2018 au milieu des tensions avec leur société mère, ont formé une nouvelle entreprise pour explorer des idées d'applications sociales de nouvelle génération.

Leur premier produit est Artifact, un fil d'actualité personnalisé qui utilise l'apprentissage automatique pour comprendre vos intérêts et vous permettra bientôt de discuter de ces articles avec des amis.

Artifact ouvre aujourd'hui sa liste d'attente au public. La société prévoit de laisser les utilisateurs entrer rapidement et l'application est déjà disponible pour Android et iOS.

La façon la plus simple de comprendre Artifact est comme une sorte de TikTok pour le texte.

L'application s'ouvre sur un flux d'articles populaires choisis parmi une liste organisée d'éditeurs allant des principaux organes de presse comme le New York Times aux blogs à petite échelle sur des sujets de niche.

Appuyez sur les articles qui vous intéressent, et Artifact vous proposera des articles et des histoires similaires à l'avenir, tout comme regarder des vidéos sur la page For You de TikTok ajuste son algorithme au fil du temps.

Les utilisateurs de la version bêta d'Artifact testent actuellement deux autres fonctionnalités qui devraient devenir les principaux piliers de l'application. L'un est un flux affichant les articles publiés par les utilisateurs que vous avez choisi de suivre, ainsi que leurs commentaires sur ces publications. (Vous ne pourrez pas publier de texte brut sans lien, du moins pour le moment.) La seconde est une boîte de réception de messages directs vous permettant de discuter des messages que vous lisez en privé avec des amis.

Dans un sens, Artifact peut ressembler à un retour en arrière. Inspirées par le succès de TikTok, les grandes plateformes sociales ont passé ces dernières années à rechercher des produits vidéo courts et les revenus publicitaires qui les accompagnent. Et pourtant, à l'instar d'un réseau social de la fin des années 2000, Artifact vise résolument le texte.

Alors pourquoi revenir maintenant ? Ce n'est pas le premier projet du duo depuis Instagram. En 2020, ils se sont associés pour créer le site Rt.live pour suivre la propagation du covid. 

Mais Systrom et Krieger ne voulaient pas créer une nouvelle entreprise tant que trois choses ne se produisaient pas :

  • Premièrement, une grande nouvelle vague dans la technologie grand public.

  • Deuxièmement, un moyen de connecter cette vague à la technologie sociale, dans laquelle ils se sentiraient investis émotionnellement.

  • Et troisièmement, une idée de la manière dont leur produit pourrait résoudre un  

La percée techno en question, ce sont les transformateurs (Les transformateurs sont le "T" dans ChatGPT). Pas besoin de vous faire un dessin !! Mais ces transformateurs existent depuis 2017, inventés par Google !

Cela a également créé de nouvelles possibilités pour les réseaux sociaux. Au début, les réseaux sociaux vous montraient des trucs que vos amis trouvaient intéressants — le modèle Facebook. Ensuite, ils ont commencé à vous montrer des trucs basés sur les personnes que vous avez choisi de suivre, que vous soyez amis ou non - le modèle Twitter. 

L'innovation de TikTok était de vous montrer des choses en utilisant uniquement des prédictions algorithmiques, quels que soient vos amis ou qui vous suiviez. Elle est rapidement devenue l'application la plus téléchargée au monde.

Artifact souhaite faire la même chose mais pour le texte.

Comme la plupart des startups à ce stade, Artifact n'a pas encore adopté de modèle commercial. La publicité serait un choix évident. Les fondateurs souhaitent également réfléchir à des accords de partage des revenus avec les éditeurs. Si Artifact rencontre le succès, cela pourrait aider les lecteurs à trouver de nouvelles publications et les encourager à s'y abonner ; il peut être logique pour Artifact d'essayer de prendre une coupe.

Pour l'instant, Systrom et Krieger financent eux-mêmes Artifact, car après avoir vendu Instagram à Facebook pour 715 millions de dollars, ils n’ont pas d’urgence réelle de financement !

Mais alors qu’est-ce qui motive les « déjà milliardaires » à se relancer dans l’aventure entrepreneuriale ? 

"Nous aimons fondamentalement construire", a déclaré Systrom. "Il n'y a pas d'autre chose au monde à laquelle nous préférerions passer notre temps que d'écrire du code et de créer des produits que les gens apprécient."

Les progrès de l'IA ont également captivé leur imagination, concède Systrom.

« Je pense que l'apprentissage automatique est indéniablement la chose la plus cool sur laquelle travailler en ce moment », a-t-il déclaré. « et pas as parce que c'est branché ! Le CTO d'OpenAI a déclaré un jour que L'apprentissage automatique, c'est une multitude de façons de rater pour parvenir à un soudain truc qui fonctionne, et puis peu à peu, ça fonctionne de mieux en mieux, et terriblement bien. C’est quelque chose qui me parle ! »

Alors : prêts pour une nouvelle aventure ?

💬 ChatGPT peut trembler : ça BARD avec Google !

La semaine dernière je te parlais de la riposte de Google face à OpenAI et j’évoquais ici la date de la keynote de mai…

C’était sans compter sur le travail de l’ombre mené par les équipes de Alphabet sur le sujet depuis des années ni leur capacité à délivrer à la vitesse de l’éclair : voici donc l’annonce de « Bard » le ChatGPT-killer, qui doit arriver d’ici quelques semaines, nous dévoile donc Sundar Pichai, le CEO d’Alphabet.

À ce jour, il n’est testé que par un petit groupe.

Il sera peu à peu rendu accessible au public pour une entrée en matière plus douce que celle de son désormais célèbre concurrent !

Plus que jamais la guerre est donc lancée sur ce domaine entre Microsoft, Google et les quelques challengers que sont Apple, Meta et Amazon (dans une moindre mesure), avec comme juge de paix, comme une sorte de blague récurrente de la Silicon Valley ces dernières années, un Elon Musk dont les tentacules sont donc partout…

Pichai ajoute que BARD peut être un débouché pour la créativité et une rampe de lancement pour la curiosité, en t’aidant à expliquer les nouvelles découvertes du télescope Webb de la NASA à un enfant de 9 ans, ou à en savoir plus sur les meilleurs attaquants de foot du moment, ou bien encore à obtenir des exercices pour développer tes compétences.

Pichai note également que BARD « s'appuie sur les informations du Web pour fournir des réponses fraîches et de haute qualité », impliquant qu'il pourrait être en mesure de répondre aux questions sur les événements récents - quelque chose avec lequel ChatGPT se débat et qui constitue aujourd’hui l’un des désavantages du bot de OpenAI.

L'annonce précipitée et le manque d'informations sur BARD sont des signes révélateurs du "code rouge" déclenché chez Google par le lancement de ChatGPT l'année dernière.

Bien que la technologie sous-jacente de ChatGPT ne soit pas révolutionnaire, la décision d'OpenAI de rendre le système disponible gratuitement sur le Web a exposé des millions de personnes à cette nouvelle forme de génération automatisée de texte. Les effets ont été sismiques, avec des discussions sur l'impact de ChatGPT sur l'éducation, le travail et, sur ce qui intéresse particulièrement Google : l'avenir de la recherche sur Internet.

Google a rendu LaMDA, le modèle de langage qui sous-tend BARD, disponible via son application AI Test Kitchen.

Mais cette version est extrêmement contrainte, ne pouvant générer que du texte lié à quelques requêtes.

Google, comme d'autres géants de la technologie, s'est méfié d'une réaction violente contre une IA non testée.

Les grands modèles de langage comme LaMDA et GPT-3.5 (qui alimente ChatGPT) ont des tendances bien documentées à cracher du contenu toxique comme les discours de haine, ou encore à affirmer avec confiance de fausses informations.
A tel point qu'un professeur a comparé ces systèmes à des "générateurs de conneries" – pas forcément la description élogieuse que l’on recherche quand on veut monter la tech qui, selon certains, devrait remplacer les moteurs de recherche !! 

Le lancement prochain de BARD marque un changement radical dans l'approche de Google vis-à-vis de cette technologie. Dans son article de blog, Pichai souligne que Google combinera « des commentaires externes avec (nos) propres tests internes pour nous assurer que les réponses de BARD atteignent un niveau élevé de qualité, de sécurité et d'ancrage dans les informations du monde réel ».

Mais il est déjà acquis que le système fera des erreurs, peut-être graves…  on a encore un peu de temps avant d’être confrontés à HAL !


🚀 « Food for Thought »

🤔 25 conseils, part. II

Cette semaine, les 13 conseils suivants pour arriver à 25, pour faire de toi un manager impactant selon des founders ou des managers US. Comme promis la semaine dernière ! Continue ta liste de courses :

#13. N'oublie pas les humains derrière les objectifs de l'entreprise. Rendre chaque expérience, chaque succès, chaque effort, le plus humain possible. Ca ne signifie pas faire passer les objectifs de l’entreprise aux oubliettes, mais bien faire primer l’humain…

#14. Encourage les gens à penser à eux d’abord ! Si certains sont des livres ouverts, d’autres collaborateurs sont plus secrets, mais ils méritent tout autant l’attention des managers. Et lorsqu’un membre de l’équipe rencontre certaines difficultés, il est souvent payant de lui dire de prendre du temps pour lui, de couper pendant un moment. Et pendant cette coupure, il faut respecter celle-ci et ne pas succomber à l’envie d’appeler pour un renseignement lié au travail…

15. Amortis les coups. Tout est toujours plus facile quand tout va bien. C’est dans la tempête que l’on évalue mieux la qualité des managers ! Alors il faut jouer le rôle d’amortisseur, le tampon, afin que la vie tumultueuse de la jeune entreprise n’entrave pas le travail des collaborateurs… et pour cela, adopte une attitude qui se résume en ces mots : « je ne veux pas que tu te plantes ! mais si tu plantes, je suis là pour toi ! ». Et les erreurs arrivent fatalement. Si tel n’était pas le cas, ça voudrait dire que l’ambition n’est pas au rendez-vous !

#16. Met en place un plan d'examen mensuel des performances. Des points réguliers sont importants. Et profite du feedback pour le transformer en plan d’action sur lequel les collaborateurs peuvent travailler et au fur et à mesure des points mensuels, partage les conseils, le coaching et la méthode des uns avec les autres. Des outils de suivi existent mais un simple tableur peut aussi faire l’affaire !

#17. Renforce les bonnes habitudes. Laisse la porte ouverte ne signifie pas « baisser la garde en termes de qualité d’échanges » et pour maintenir ceux-ci, il faut à tout prix continuer à challenger les collaborateurs pour qu’ils viennent toujours avec des requêtes précises et des attentes claires.

#18. Prends un temps avant de donner votre avis. S’il est communément admis qu’il vaut mieux faire les louanges de quelqu’un en public et les reproches en privé, il est encore mieux de demander à quelqu’un sous quelle forme il souhaite recevoir le feedback de ta part, soit dès l’embauche, soit au fil de l’eau : demander avant d’agir, c’est s’offrir une meilleure écoute.

#19. Cherche des occasions de faire l'éloge sur le moment. Les « moments » d’encouragements, sont en revanche inutiles à planifier, et doivent se faire de façon continue dès que la situation se présente : un compliment, des félicitations, ou même juste un pouce en l’air sur un échange Slack peuvent avoir beaucoup de valeur pour celui qui les reçoit ! D’une façon plus « publique », certains managers jouent de la cloche ou du gong pour féliciter les petites avancées des uns ou des autres de manière à rendre le moment collégial.

#20. Repère les chances d'envoyer des félicitations à la chaîne. Faire remonter les félicitations aux étages supérieurs et attester du succès d’un tel au projet, c’est créer une culture du groupe et une vertu du feedback : c’est important quand on manage depuis tout en haut, de montrer que l’on est à l’écoute des efforts de ceux qui sont plus bas, même sans être en contact direct. Compiler les efforts et les réalisations de collaborateurs même tout en bas de l’échelle, de façon régulière, c’est rare, mais c’est un truc que tu devrais tenter : mettre par écrit les faits marquants de quelques uns des collaborateurs qui sont tes n-4 ou 5, c’est d’une valeur cruciale. C’est aussi une question de culture, et ça veut dire que chacun est capable de faire de même aux étages inférieurs ! A méditer !

#21. Célèbre également les moments en dehors du bureau. C’est peut-être plus américain, mais les attentions « personnelles » issues du monde du travail, mais sans lien avec le travail, c’est aussi une façon de montrer que tu t’intéresses : naissance, diplôme d’un enfant, anniversaire de mariage, obtention d’une certification, tous ces événements personnels peuvent donner lieu à l’envoi d’un message ou d’un petit cadeau… (encore une fois, c’est très anglo-saxon !)

#22. Investis dans leur carrière. Comme il existe une vraie fierté entre Xooglers à avoir appartenu (ou à appartenir) à Google, l’adhésion au corps d’une boite dans la durée se fabrique dès les débuts ! La véritable culture de groupe se forge grâce au management, notamment en misant sur le long terme : affecter les bonnes ressources aux bons projets, et être conscient que l’on n’est qu’une étape dans la vie des collaborateurs que l’on manage !

#23. Fais venir des mentors et ne crains pas de griller des étapes ! Je m’explique : il est déjà suffisamment dur de jouer le rôle de manager visionnaire, alors un peu d’aide extérieure n’est pas de trop ! Alors quand tu fais venir des intervenants, des mentors inspirants, ne le fais pas pour uniquement pour des choses immédiatement utiles, mais pense aussi à le faire pour ce qui peut éclairer les collaborateurs pour les 5 prochaines années de leur vie !

#24. Fais de la place pour la croissance. Aligner les objectifs personnels et ceux de l’équipe, c’est le rêve de tout manager pour que la boite tourne au mieux ! Mais dit comme ça, c’est froid, mathématique. Alors qu’en réalité, ça passe par le bien-être des collaborateurs en profondeur : ne te contente plus de demander en manager passif « comment ça va ton boulot » quand tu fais un point, mais deviens pro-actif en demandant précisément les points qui vont bien, ceux qui ne vont pas, même les pires : c’est ce qui permet de libérer de l’espace et d’offrir la possibilité du changement. Ca débloque tout ! Quand tu organises tes ‘monthly’ en tête à tête, prends le temps, en plus des points chauds du mois, de discuter tout le temps des perspectives de carrière, des objectifs de long terme… toujours.

#25. Aiguise tes flèches. Au même titre qu’il faut sans cesse se remettre en question, se former, rester au top du ‘game’, il faut aussi donner l’occasion à vos collaborateurs de faire leurs preuves sur le terrain même du développement personnel : les laisser organiser une séance de coaching, les laisser aller à des conférences sur leur initiative, etc…

En somme, un bon manager, c’est avant tout quelqu’un qui écoute, quelqu’un qui orchestre et qui valorise. C’est aussi un soutien, un appui, et un conseiller… c’est une sorte de couteau Suisse introuvable, et c’est sans doute pour cela qu’on cherche ces perles rares dans toutes les entreprises du monde ! On ne le répète jamais assez : on ne quitte pas une boite, on quitte un management !

(source 1st Round Review)

🚦Stop the BULLSHIT !

Pour rappel, ce mercredi, comme un mercredi sur deux, tu retrouves Pierre Gaubil qui est notre invité pour conseiller, débriefer et renforcer le pitch d’un fondateur de start-up ou simplement pour parler d’une phase clef de la vie des start-up ! C’est avec toi, grâce à tes questions, et c’est à midi et demi, pour t’aider à apprécier votre Pokebowl.

On t’attend et pour encore plus de plaisir, n’hésite pas à nous retrouver sur notre page YouTube ! 


🌐 « Friends and Network »

🟩 Fabric rend la transformation facile, utile, et agréable…

Vous avez entendu parler d’Holacratie ? Vous pensez avoir tout compris de l’intelligence collective ou même de l’intelligence créative ? Vous ne comprenez pas comment l’on peut raisonner à l’échelle et changer le mindset d’une grande entreprise ?

C’est là que Fabric entre en scène. Spécialistes de la transformation des organisations vers des structures plus intelligentes, fluides, agiles et résilientes, Chloé, Michael et Axel ont créé ce collectif d’experts et d’auteurs, afin de permettre à chaque entreprise de se repenser collectivement, de s’envisager au pluriel et de se conjuguer au futur !

Aujourd’hui aux côtés de mastodontes qui se rêvent étoiles de l’opéra, ce ne sont pas des apprentis sorciers jouant avec le feu de situations déjà bien trop déceptives dans les grands groupes : ils apportent les méthodes, le mindset et la culture nécessaires au changement, à la collaboration, à la créativité, le tout rapidement, et grâce à des prestations ad hoc mais packagées, pour simplifier à tous l’accès à une meilleure version de soi-même : le collaborateur, le manager, l’équipe et évidemment, l’entreprise !

Si tu les cherches pour faire bouger les choses dans ton groupe : ils sont ici !

💡 NRGYbox, et la lumière fut !

Depuis quelque temps nous accompagnons NRGYBox, une start-up de Bordeaux. Elle se définit comme « la transition écologique de l’éclairage public ».

C’est plus concrètement, une solution de contrôle et de gestion de l’énergie pour les espaces publics et donc une réponse simple et urgente à mettre en place pour les communautés locales (communes, syndicats de communes, agglo, communautés urbaines, etc…).

Si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce qu’une fois encore, l’innovation se heurte à l’inertie de l’appareil public, aux rigidités des process, aux idées reçues sur la tech et évidemment au lobbying des solutions alternatives moins bonnes, plus coûteuses, mais assurant des rentes à des empires industriels qu’il est bien trop précieux de ne pas froisser (un petit coucou aux fabricants de LED !).

Nous parlons ici, avec NRGYbox, d’une solution permettant, tu l’as tout de suite compris, d’avoir de la lumière à la demande, et surtout en fonction du besoin, grâce à une tech qui s’adapte à tout le parc déjà installé. En gros, c’est comme si l’on pouvait, tout changer, sans presque rien changer…

Et quand on parle de tout changer, on évoque quand même, sur l’éclairage, une économie de l’ordre de 40% minimum pour les collectivités ou les syndicats de gestion !

NRGYbox fonctionne sous LoRa, garantit ses installations 5 ans, et ne présente qu’un surcoût marginal à qui souhaiterait renouveler son parc, ce qui est pour de nombreux élus et fonctionnaires territoriaux, la priorité pour répondre aux urgences climatiques, de sécurité et d’économies d’énergie (inflation importée) du moment ! Même si le choix des LED est fait pour un renouvellement, l’accouplement avec la techno NRGYbox est possible !

Alors, si tu connais des élus, si tu as un peu le souci de l’économie d’énergie, si tu t’intéresses aux grands travaux, que tu es copains avec les Bouygues, que tu fabriques des luminaires pour les collectivités ou que tu es toi-même maire, alors contacte Rémi au plus vite pour faire partie des avant-gardistes et équiper ta ville, celle de tes potes, de ta famille, de ce qui se fait de mieux pour eux, pour nous, pour la planète !

Faut pas être une lumière pour piger !

📺 Émissions en séries par Light Me Up !

Elodie a lancé il y a une dizaine de jours le format « Entrepreneur(e) en Série » qui prend le temps, grâce à l’intervention de la spécialiste du storytelling Monika Siejka, de décomposer les séries qui se sont penchées sur les entrepreneurs hors-normes issus des deux côtes des Etats-Unis : Hollywood, sous l’impulsion des plateformes, s’est intéressé depuis quelques années aux parcours et aux affres des figures les plus flamboyantes ou tumultueuses de l’univers des start-up, pour en faire des séries plus ou moins réussies

Ainsi, de Theranos à Uber, de Spotify à WeWork, les biopics des patrons offrent aussi à voir de belles choses, à travers les récits, sur le management, les arcanes du pouvoir, les collaborateurs, la politique, etc. Autant de points qu’il est passionnant de décortiquer.

C’est tout le propos de « Entrepreneur(e) en Série » qui a choisi la série sur le seul Européen de la bande, Daniel Ek, l’ingénieur prêt à en découdre avec les géants de la musique et qui créa Spotify. Son histoire est retracée sur Netflix dans « the Playlist ».

On te retrouve sur notre page YouTube pour en discuter ?


😎 « Tendances de la semaine »

📕 Un livre : petite pépite pour ceux qui sont curieux de tout et je sais que tu es de ceux-là, le bouquin « 50 questions brulantes d’économie – pour tout comprendre et penser par soi-même » est un de mes livres préférés de ce début d’année en matière d’éco ! Je t’invite donc à aller y jeter un œil.

Qu’il s’agisse des fonctionnaires, des labos, de l’inflation, des paradis fiscaux, tu sauras tout sur ces sujets phares du moment ! Avec des chiffres, des arguments et des explications !

🎸 Un son : nos entrepreneurs ont du talent ! Helkah (ou LK), DJ spécialisé dans la « progressive house » et la « melodic techno » était jusqu’à il y a encore peu de temps plus « deep tech » que « deep house », pour oser le jeu de mots ! Bref : on l’adore et même si moi, je suis trop vieux pour aller dandiner du gras sur le dancefloor, je suis certain que toi, tu onduleras ton corps aux sons diaboliquement précis de Helkah ! Son talent il le cultive depuis plus de 15 ans, et tu le retrouves à la prod, au mix et au sein des collectifs Orchessons Music & Deejay ! Pour écouter, c’est ici !

🎙 Un autre truc : les Maddykeynotes, c’est ce mercredi, au Carreau du Temple, à Paris, dans le 3ème. Viens, ça va être marrant ! Et instructif ! Il y a encore des places ici !

Pour nous retrouver, n’hésitez pas à passer par chez nous, parce que notre métier, c’est d’accompagner les entrepreneurs, ne l’oublions pas ! 😊 


Share this post

Elodie & Nash présentent... Duel au sommet : ChatGPT vs Google BARD

lightmeupinnovationstudio.substack.com
Comments
TopNewCommunity

No posts

Ready for more?

© 2023 LightMeUp :: Innovation Studio
Privacy ∙ Terms ∙ Collection notice
Start WritingGet the app
Substack is the home for great writing