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Elodie & Nash présentent… : SVB / Oussama Amar ? Aucun lien, fils unique !

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Elodie & Nash présentent… : SVB / Oussama Amar ? Aucun lien, fils unique !

Cette Newsletter vous invite dans le monde en mouvement que nous partageons avec vous : nous y parlons d'innovation, de transformation, de grandes idées, de culture et d'entrepreneurs.

Light Me Up
Mar 14
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Elodie & Nash présentent… : SVB / Oussama Amar ? Aucun lien, fils unique !

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🏜 WHISPER OF THE VALLEY

  • 🤥 SVB & Signature, la banque en question…

  • 💸 Circle et les StableCoins

  • 🤖 Apple et le casque VR… épisode 25

🍔 FOOD FOR THOUGHT

  • ⛔ Rien cette semaine, c’est à cause de SVB !

  • ❌ Stop the BULLSHIT !

🌐 FRIENDS AND NETWORK

  • 🚀 Morald Chibout : pas de quartier pour l’échec !

  • 🏡 Neemmo : l’agent ne fait pas le bonheur

⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE

📝 EDITO by NASH

On ne le dira jamais assez fort : « Non, Oussama Amar n’est pas responsable de la chute de la Silicon Valley Bank ! »

Que la FrenchTech respire !

Pourquoi cette blague vaseuse pour commencer cette newsletter ? Me lancerais-je dans le one man show ? Serais-je en perte totale de contrôle ? Ai-je un besoin irrépressible de vous faire marrer ? (ça sans doute !)

Non, c’est juste que cette semaine, on risque de ne pas pouvoir faire l’économie de parler (comme tout le monde !) de la déferlante Ouss’ et de l’ouragan SVB !

Pour ceux qui voudraient lire un truc intelligent sur The Family et recueillir des infos de la part de quelqu’un qui sait de quoi et de qui il parle, je vous invite à rejoindre la Newsletter de Jean de la Rochebrochard, la seule newsletter du dimanche (il est fort ce Jean !), parce que moi, à part un apéro avec Alice à la maison, je n’ai rien à ajouter sur les uns ou les autres des protagonistes de cette longue affaire qui fait beaucoup parler en ce moment !

(Pour tous les autres, il y a twitter, facebook, tiktok, insta, Snap… : ça érupte de parodies, de méchancetés et de trucs inutiles : vous allez adorer !)

Alors pour que l’on en reparle autant ces temps-ci, on a un élément récent qui est venu changer la donne : Oussama nous éclabousse beaucoup de sa gouaille et de ses récits légendaires depuis son petit condo Dubaïote ! Et il défraie la chronique, reste très populaire, et ça fait grincer à Paris, parce que certains le verraient plutôt ailleurs et plus discrètement impliqué dans des travaux d’intérêt généraux ! Bref ! Ouss is back comme vous avez du le voir avec sa promo en fanfare la semaine dernière pour sa formation qui t’apprend à devenir lui (mais en moins bien) en peu de temps et une modique somme de moins de 700 balles…

 
70 000 personnes présentes lors de la visio… scrutons le taux de conversion, mais on peut d’ores et déjà dire que ça n’aura pas été du temps perdu pour l’ex techguru (c’est comme grand gourou, mais sans la poche sur le ventre pour petit gourou !) de the Family !

A suivre…

Alors si vous avez loupé les aventures du petit Oussama, vous n’avez en revanche pas pu passer à côté de la « fondue californienne », ce plat qui coûte la bagatelle de 250 milliards et qui s’accorde très bien avec une crise de financement de la tech. Non ? Vous ne voyez pas ?

La banque star de la Silicon Valley (nous avions failli y ouvrir un compte, mais le marché nous avait ratatinés avant que nous n’en ayons eu le temps, en 2017 ! héhé) a donc malheureusement laisser fuiter son incapacité à se refinancer et sa liquidation à perte d’obligations !! Mauvaise gestion, pas d’anticipation de la hausse des taux, taux de couverture abominablement bas (à cause de la déréglementation made in Donald Trump !), et l’on pourrait en trouver d’autres origines… le tout dans une période compliquée de financement de la tech… de bons ingrédients pour mettre à terre quelques VC et beaucoup de belles startups !

Elles sont aujourd’hui 10 000 à être clientes de la SVB, san compter que tous les VC funds ont aussi un ou plusieurs de leurs comptes chez elle. Ils ont collectivement tenté de retirer 42 milliards d’un coup en 48h… et la banque n’a pas pu faire face !

Deux autres banques (hasard du calendrier !?) ont été fermées, mais Signature et SilverGate ont d’autres raisons qui ont poussé le régulateur à leur fermeture express : leur exposition aux cryptos et à la faillite récente de FTX… Très mauvais timing.

Le trésor US a néanmoins assuré de son soutien les porteurs de comptes dans ces établissements qui pourront donc retirer tous leurs avoirs et non plus, conformément à ce qui avait été annoncé par l’état de Californie, des sommes plafonnées à 250 000 dollars ! Le gouvernement Biden et la FED sont donc sur le foyer principal, avec leurs lances à incendie, avec une rapidité et une force de frappe qui nous laisse espérer que la crise ne sera pas systémique et que l’on s’en tiendra à une secousse américaine.

Ce matin, néanmoins (j’écris le lundi !), la filiale UK de la SVB était rachetée par HSBC pour 1£ symbolique. Pas de filiale de la banque en France cependant. Les marchés financiers débutent une semaine cruciale (on est en plein dans les trimestrielles pour ceux qui suivent !) avec une fébrilité dont on se passerait bien volontiers !

Même le kick-off de SXSW a été perturbé par les affres intercontinentales de SVB ! C’est dire !

Cependant, et en attendant la mort par atome Russe ou sécheresse d’hiver, prenons tous soin du rock n’roll et gardons-nous du mal !

« Whisper of the Valley »

Les États-Unis soutiennent pleinement les déposants de SVB et de Signature Bank

Le gouvernement américain s'est finalement engagé à garantir tous les fonds déposés par les clients à la Silicon Valley Bank, afin d'enrayer la contagion.

Les autorités de régulation ont déclaré que les déposants auraient accès à la totalité de leur argent le lundi 13 mars (aujourd’hui, parce que j’écris le lundi !), selon une déclaration commune publiée dimanche soir par la FED, la Federal Deposit Insurance Corp. et le Trésor.

Dans le même temps, les autorités de régulation de New York sont intervenues pour fermer la Signature Bank, un prêteur favorable aux crypto-monnaies. Les clients de Signature Bank verront également leurs dépôts garantis.

Les actionnaires et les détenteurs d'obligations de la SVB et de la Signature Bank subiront eux en revanche, de lourdes pertes. On protège la banque mais pas les banquiers non plus : il y aura des comptes à rendre, dit-on à Washington !

Le gouvernement met également à la disposition du secteur bancaire des fonds supplémentaires à court terme afin d'éviter que la panique ne s'étende davantage sur le marché, comme cela a été le cas lors de la liquidation du prêteur de crypto-monnaies Silvergate Bank il y a quelques jours.

Pour protéger le secteur bancaire contre de nouvelles turbulences, le nouveau programme de la FED du financement à terme des banques, offrira des prêts d'une durée maximale d'un an pour aider à combler les « lacunes » en matière de liquidités, le gouvernement prévoyant de créer un filet de sécurité de 25 milliards de dollars.

La fermeture de Signature Bank par le département des services financiers de New York, une mesure qu’Adrienne Harris a décrite comme nécessaire pour protéger les déposants, est intervenue quelques jours seulement après que le prêteur basé à New York a tenté de calmer les investisseurs en publiant des chiffres financiers actualisés et en vantant "sa position financière solide et bien".

En prenant à sa charge les dépots de Signature, New York DFS a désigné la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) comme administrateur judiciaire de la banque et ainsi garantir les quasi 89 milliards de Dollars théoriquement en sa possession.

Pour rappel, Signature Bank était une alternative à Silvergate Bank, la banque dominante pour les entreprises de crypto-assets.

Elle proposait un réseau de paiement pour les sociétés de crypto-monnaies appelé Signet, qui était similaire au réseau de règlement 24/7 de Silvergate, ‘Silvergate Exchange Network’. Les startups du secteur de la crypto s'étaient déjà démenées pour trouver de nouvelles banques à la suite de l'effondrement de Silvergate.

Historiquement, les prêteurs se sont montrés prudents dans leurs relations avec les startups de la crypto, en raison des inquiétudes liées à la surveillance réglementaire, aux problèmes potentiels tels que le blanchiment d'argent et à la nature volatile des sociétés de cryptographie… mais le risque n’était pas forcément là où on l’attendait !

L'émetteur de stablecoins ‘Circle’ révèle une exposition de 3,3 milliards de dollars à la Silicon Valley Bank !

Circle, l'émetteur d'USD Coin, a déclaré dans un tweet vendredi soir que 3,3 milliards de dollars de ses réserves soutenant le stablecoin étaient détenus chez Silicon Valley Bank. Après la révélation de Circle, le prix de l'USD Coin, qui est censé rester indexé sur l’US Dollar, a chuté à un peu moins de 92 cents avant de remonter à environ 94 cents, selon CoinGecko.

Improbable !?

Les rachats d'USDC ont explosé vendredi - la capitalisation boursière de tous les USDC en circulation a commencé vendredi à plus de 43 milliards de dollars pour finir la journée à moins de 39 milliards de dollars, selon les données de CoinGecko. Une fonte comme neige au soleil… posant la question du sens « stable » dans le marasme actuel des cryptos !

Les clients de Coinbase ont traditionnellement toujours pu échanger des USDC contre des USD sur sa plateforme, mais la bourse de crypto-monnaies a déclaré dans un tweet vendredi soir qu'elle mettait temporairement en pause cette conversion.

« Pendant les périodes d'activité accrue, les conversions dépendent des transferts d'USD des banques qui sont compensés pendant les heures normales d'ouverture des banques », a déclaré Coinbase dans le tweet.

Tim Cook mise sur le casque de réalité mixte d'Apple pour assurer son héritage

Lorsque Tim Cook dévoilera le nouveau casque de "réalité mixte" d'Apple dans le courant de l'année, il ne se contentera pas de montrer le dernier gadget brillant du géant de la technologie.

Le dirigeant d'Apple veillera également à ce que son héritage intègre bien le lancement d'un « device » de nouvelle génération qui, selon certains membres de l'entreprise, pourrait un jour rivaliser avec l'iPhone.

Après sept ans de développement, soit deux fois plus longtemps que l'iPhone, le géant de la technologie devrait dévoiler, dès le mois de juin, un casque intégrant à la fois la réalité virtuelle et la réalité augmentée.

Je t’en parle ici depuis une dizaine de newsletters !!!

L'enjeu est de taille pour M. Cook. Le casque sera la première nouvelle plateforme informatique d'Apple à avoir été entièrement développée sous sa direction. L'iPhone, l'iPad et même la montre ont tous été conçus à l'origine par le cofondateur d'Apple, Steve Jobs, décédé en 2011.

La croissance d'Apple au cours du mandat de Cook a été spectaculaire, sa capitalisation boursière passant d'environ 350 milliards de dollars en 2011 à quelque 2,4 milliards de dollars aujourd'hui. Mais malgré les deux lancements à succès de l'Apple Watch en 2015 et des AirPods un an plus tard, qui ont contribué à faire de sa division accessoires une entreprise de 41 milliards de dollars, l'entreprise a été accusée d'itérer sur des idées du passé plutôt que d'innover en perpétuelle rupture comme à l’époque de Jobs !

L'équipe opérationnelle d'Apple souhaitait initialement livrer une "v1", un casque semblable à un masque de ski qui permettra aux utilisateurs de regarder des vidéos 3D immersives, d'effectuer des exercices interactifs ou de discuter avec des avatars ‘réalistes’ par le biais d'une sorte de FaceTime remanié.

Mais la célèbre équipe de design industriel d'Apple avait appelé à la patience, souhaitant attendre qu'une version plus légère de lunettes AR soit techniquement réalisable.

Et la plupart des acteurs de l'industrie technologique s'attendent à ce que cela prenne encore plusieurs années. En décidant d'aller de l'avant avec un lancement cette année, Cook s'est rangé du côté du chef des opérations Jeff Williams, selon deux personnes familières avec les décisions d'Apple, et a rejeté les premières objections des concepteurs d'Apple qui souhaitaient attendre que la technologie rattrape leur vision.

Il y a quelques années encore, il aurait été impensable d'aller à l'encontre des souhaits de la toute puissante équipe de conception d'Apple. Mais depuis le départ de son leader originel, Jony Ive, en 2019, la structure d'Apple a été remaniée, le design relevant désormais de Williams.

L'équipe dirigeante d'Apple, composée de 12 personnes, reflète l'évolution des priorités de l'entreprise sous la direction de M. Cook, lui-même ancien chef des opérations. Quatre des 12 membres ont gravi les échelons des opérations d'Apple, tandis que personne n'a succédé à Ive en tant que directeur de la conception, qui a dirigé le développement de l'iMac, de l'iPod, de l'iPhone et de l’Apple Watch.

Alors que le succès ou l'échec du casque pourrait avoir d'énormes répercussions sur la réputation de Cook en tant que dirigeant à poigne et sur la capacité supposée d'Apple à continuer d'innover, ses premières ventes seront probablement faibles !

Selon deux personnes au fait du planning, Apple s'attend à ne vendre qu'environ un million d'unités de son casque au cours des 12 premiers mois, soit moins que les premières générations de l'iPhone ou de l'Apple Watch au cours de l'année qui a suivi leur lancement.

L'appareil complexe, qui contiendra un ensemble de caméras et d'écrans ‘haute résolution’, devrait coûter environ 3 000 dollars, soit le triple du prix du Quest Pro de Meta, ce qui pourrait en limiter l'attrait. Tout au moins au démarrage !

Même un chiffre d'affaires annuel de 3 milliards de dollars ne représenterait qu'une infime partie du chiffre d'affaires d'Apple, qui s'est élevé, je te le rappelle pour le fun (!), à environ 400 milliards de dollars l'année dernière.

« Food for Thought »

Je reviens la semaine prochaine avec un super topo sur la culture d’entreprise dès le démarrage des startups… mais cette semaine, pas le bon mood !

😉

Stop the BULLSHIT !

Pour rappel, ce mercredi, comme un mercredi sur deux, tu retrouves Pierre Gaubil qui est notre invité pour conseiller, débriefer et renforcer le pitch d’un fondateur de startup ou simplement pour parler d’une phase clef de la vie des startups ! C’est avec toi, grâce à tes questions, et c’est à midi et demi, pour t’aider à apprécier votre Pokebowl.

On t’attend et pour encore plus de plaisir, n’hésite pas à nous retrouver sur notre page YouTube ! 

« Friends and Network »

Connais-tu le Morald de cette histoire ?

Un homme. C’est parfois tout ce qu’il faut pour créer de l’espace, apporter une vision, faire naître l’espoir, transmettre, offrir un répit, ouvrir des perspectives…

Un homme.

C’est assez rare, un homme comme ça ! Et pourtant, dans l’engagement qui est le nôtre chez Light Me Up (notamment auprès des Déterminés, de Give & Recieve), d’accompagner l’entrepreneuriat éloigné des facilités de financement et de réseau, nous avons croisé le chemin de cet homme.

Cet homme, c’est Morald Chibout. Certains le connaissent parce qu’il tutoie les sommets d’un grand groupe de distribution dont il tient dans la tourmente la baraque du e-commerce ; d’autres se souviennent de monsieur AutoLib dans la galaxie Bolloré ; certains auront en tête les jours de foot, à Châteauroux, à soutenir la Berrichonne, et puis il y a ceux qui ont compris le marketing en lisant « Le marketing expliqué à ma mère » que Morald a écrit pour nous tous, il y a une quinzaine d’années !

Morald Chibout est un grand patron au parcours exemplaire, un passeur décisif, un bosseur hors normes.

Mais ce sont ses origines qui valent à Morald d’avoir choisi des combats majeurs et un engagement sans faille derrière les entrepreneurs de banlieues, les talents oubliés. Leur implication, leur investissement personnel, et leurs projets bénéficient d’une exposition inversement proportionnelle à l’intensité qui les habite en tant qu’hommes et femmes d’action, en tant qu’entrepreneur(e)s ! Et c’est une insulte à l’entrepreneuriat dans notre pays.

Ces hommes, ces femmes des quartiers, qui entreprennent, Morald les connait parce qu’il vient de là. Il les comprend parce qu’il sait leur parcours. Il les aide parce qu’il a l’expérience des obstacles qui se dressent sur leur chemin !

Morald Chibout est encore aujourd’hui le seul ‘cadre dirigeant’ issu des quartiers populaires du CAC40 et du SBF120…

Alors aujourd’hui, et après avoir été le parrain, le grand-frère, le guide de toute une génération, il se lance à nouveau dans une aventure qui confirme son engagement : avec ViaValorem, il crée l’accélérateur qui manque aux startups que le système actuel laisse sur le côté !

Un objectif qui sonne comme un engagement : sortir une licorne des quartiers avant la fin du second quinquennat d’Emmanuel Macron !

Avec le souci d’apporter un accompagnement haut de gamme, d’offrir un réseau de haut vol (médiatique, financier, et politique), d’asseoir la crédibilité de ces entrepreneurs et de leurs projets, Morald rassemble une équipe de managers, d’experts et de spécialistes opérationnels, capables de booster ces business et de les mettre à la place qu’ils méritent !

Cela s’inscrit aussi dans la durée : non content d’œuvrer comme tous les accélérateurs, VIaValorem peut aussi prendre une place au board de ces startups, ou aider à constituer un board digne des meilleurs champions de l’écosystème.

Au-delà de tous les aspects opérationnels et stratégiques, ViaValorem apporte aussi la culture qui fait parfois défaut à ces entrepreneurs : grâce à l’accélérateur, les codes des uns ne resteront pas longtemps obscures aux autres. Morald souhaite faire le pont entre des mondes qui s’ignorent : les grandes entreprises n’ayant pas les codes des quartiers, et les jeunes entrepreneurs, pas non plus ceux du monde des affaires !

S’il a œuvré pendant de nombreuses années pour la diversité en entreprise, et à ce titre, offert des opportunités de dingues à des jeunes diplômés qui n’osaient même pas en rêver, tant leur destin était -selon eux- scellé par leurs origines géographiques, ethniques ou religieuse, c’est aujourd’hui avec le souci d’offrir les mêmes chances aux entrepreneurs moins considérés par notre société, qu’il regroupe des experts et mentors de haut niveau pour accompagner les créateurs d’entreprises, les innovateurs de demain, les fondateurs de startups, issus de ces quartiers et territoires délaissés !

Il y a trop peu d’initiatives collectives ou individuelles de ce type pour oublier de les mettre en lumière, de les louer, ou de souhaiter leur duplication ! Alors c’est avec joie que je parle ici de Morald et de ses combats, mais c’est aussi avec enthousiasme que j’y joins mes forces ! Et il sait qu’il peut compter sur notre soutien et notre implication le moment venu !

A vous aussi, qui voulez partager vos parcours, vos compétences, sachez qu’il y a de lourds besoins, partout, et qu’il y a sûrement une initiative, une personne ou qui sait, un autre « Morald » pas loin de chez vous !

On ne s’enrichit d’ailleurs que de diversité.

Dans un registre voisin, si l’on jette un œil aux fondateurs de la Silicon Valley, Courrier International disait récemment qu’un fondateur de Licorne Américaine sur deux, était un entrepreneur étranger…

Il s’agit comme je le disais, encore d’un autre sujet, mais si l’on compare aux créateurs de startups Français, on a pas mal de chemin à parcourir encore, pour arriver à casser les stéréotypes de notre « mâle blanc parisien sorti d’une big 5 d’ingénieur ou de commerce »…

Vous allez me dire que depuis mon fauteuil de « mâle blanc lyonnais », je ferais bien de fermer ma … mais ce serait oublier un peu vite que je suis anglais ! (lol)

Vers la fin des agences immo ?

Alors on a vu disparaître pas mal d’intermédiaires depuis l’arrivée du web (agences bancaires, agences d’asurances, … on a même vu des business se digitaliser là où l’intermédiation physique était mal vue dans le monde réel (agences matrimoniales)…

Ne serait-il pas logique, qu’après la dislocation du milieu par IAD, on en vienne à du vrai C2C en matière de vente immobilière ?

Vous allez me dire : trop complexe, trop de règles, trop de normes, trop de culture, et aussi trop d’agents immobiliers qui savent faire leur métier !?

C’est pourtant à ce défi que s’est attaqué Neemmo : « vendez seul et ne payez plus de commission »

La promesse est alléchante ! Surtout en période de réajustement drastique du marché de l’immo, après 2 ans d’euphorie !

Neemmo, fondée par Julien et Nicolas, deux anciens du BonCoin, est née du constat que les offres de particuliers à particuliers ne se transforment que très rarement en vente réelle ! Partant du principe que beaucoup d’agences profitent aussi de la situation vis-à-vis des vendeurs, les deux fondateurs veulent donner les bons outils aux particuliers pour qu’ils ne se sente plus arnaqués par les agences !

Vaste programme !

De l’aveux des fondateurs il y a urgence à rendre le pouvoir aux vendeurs individuels :  « notre modèle est nouveau, nous l'avons pensé chez Leboncoin où nous avons constaté que, chaque année en France, sur million de ventes opérées, 70% des vendeurs souhaitent vendre seul mais 30% seulement y arrivent. Les 40% (+400k personnes/an) qui échouent, par manque de connaissance du parcours, finissent par se tourner vers des agences immobilières et par payer des commissions dont le montant moyen correspond à 6 ou 7 mois de leur salaire, ce qui n'est jamais justifié. »

Le parcours du combattant que peut constituer la vente d’un bien est un frein au fait de vendre seul. « Nous mettons à disposition des particuliers la connaissance et les outils pour valoriser leur bien, leur donner accès à tous les acheteurs du marché et lever toutes les problématiques légales, techniques et émotionnelles liées à la vente de leur propriété. »

Si vous voulez en savoir plus pour une vente à venir ou si vous voulez juste être le témoin de la disruption en marche d’un secteur tout entier, rendez-vous par ici : Neemmo !

« Tendances de la semaine »

Un livre : On parle de Morald dans ce numéro, alors autant vous refaire l’article de son livre, même si quelques petites choses ont bougé depuis la première édition en 2007 : le marketing expliqué à ma mère, reste un bon choix de lecture ! 😊 La Fnac nous dit même « Morald Chibout nous offre un livre décapant aux accents de thriller économique ! » alors qu’est-ce que tu attends ?

Un son : Le copain Baxter Dury revient ! Alors oui, je me la pète et je dis souvent « le copain », ou « mon cher », etc… mais c’est pour me souvenir mieux de ma vie d’avant, de saltimbanque de la télé, qui me manque à chaque fois que je me dis que je suis devenu papa de 4 filles et que je ne retournerai à des concerts rock qu’après le MBA de la petite dernière, quand la planète aura gagné 3 degrés…. Damned ! bref : Baxter Dury qui sort un nouvel album le 2 juin, c’est du plaisir dans les oreilles ! J’en salive d’avance. Pas vous ?

Et comme à chaque  sortie d’album à venir, je t’en donne un échantillon par ici, juste pour goûter ! C’est le single ‘Aylesbury Boy’, premier single de l’album intitulé « I thought I was better than You »

Toujours sobre et décalé, élégant et cynique, le dandy londonien nous envoie de la pop comme on l’aime, de celles qui collent aux souvenirs comme une BO de film culte !  

Un autre truc : le web3summit cette semaine au Carreau du Temple, 75003, Paris. Venez parler NFT, web3, AR/VR, Defi et metavers avec les startups et les experts les plus en pointe sur le sujet ! C’est pendant 2 jours, les 16 et 17 mars, c’est organisé par Virtuality, c’est gratuit, et c’est là pour les places !

Pour nous retrouver, n’hésitez pas à passer par chez nous, parce que notre métier, c’est d’accompagner les entrepreneurs, ne l’oublions pas ! 😊 

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