Elodie & Nash présentent… : “tous influencés !”
Cette Newsletter vous invite dans le monde en mouvement que nous partageons avec vous : nous y parlons d'innovation, de transformation, de grandes idées, de culture et d'entrepreneurs.
🔊 EDITO BY NASH
🏜 WHISPER OF THE VALLEY
👽 Nvidia to the Future!
⚡ TikTok ban : loi en toc ?
🦋 des UV japonais
🍔 FOOD FOR THOUGHT
🙈 Pense à ta culture d’entreprise !
⛔ Stop the Bullshit !
🌐 FRIENDS AND NETWORK
🥂 Yuwway, now MY way!
🗄️ Fungu’it, le champignon magique !
⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE
📚 From Survival to Thrival
🎼 Festival d’Entrecasteaux
🎭 Edouard Baer, le Journal de Paris
Edito by Nash :
Cannes c’est fini. Monaco a bien pétaradé. Voici maintenant venu le temps des doubles fautes du côté de la porte d’Auteuil.
Le printemps en France, c’est du cinoche, de la mécanique et du tennis.
C’est pratique parce que Eva Longoria rentabilise sa venue au FIF, tout comme Alessandra Ambrosio ou encore Lea Elui, passée depuis quelques années de IG-girl à « invitée officielle », puisque toutes, elles profitent de ce condensé d’événements pour passer 20 jours en France !
C’est la relance par le tourisme. C’est le plan « France 2030 » sauce Instagram !
Eh oui, si en 1998, l’on parlait des femmes de footballeurs, force est de constater qu’en 2023, les plus belles femmes du monde sont plutôt dans les paddocks et sur les tapis rouges. Et en mai, c’est en France qu’elles font ce qui leur plaît.
« Merci » Netflix pour le retour en hype de la Formule1, sans quoi il ne nous aurait pas été donné de voir autant de plumes et dentelles à la sortie de la chicane du Grand Prix de Monac’ ! C’est toujours mieux que de voir de vieux fans en blouson Marlboro !
Et vous savez à quoi l’on sait que c’est un « vrai » retour en hype ?
Oussama Amar était à Monaco !
Voilà.
Donc c’est « hype » !
Le printemps des entrepreneurs, dont Ouss’ n’est visiblement pas l’épicentre, cette semaine, c’était surtout le salon Change Now, où l’on a pu retrouver les petites mains qui -honte à elles !- n’étaient pas très fortes en course de voitures, mais œuvraient à changer un peu nos habitudes pour soigner la planète du mieux qu’elles le peuvent.
Et si l’on a pu croiser des orateurs impliqués, des leaders engagés, et des entrepreneurs acharnés lors de cette nouvelle édition qui s’est tenue du 25 au 27 à Paris, il y a quand même quelque chose de gênant à voir cohabiter un printemps de l’insouciance avec un printemps de l’anxiété, comme si là encore, deux mondes se croisaient sans jamais se toucher, comme les roubignoles de Jacques Chirac quand on tentait de lui piquer sa Corona !
Alors… qu’on ne parle pas environnement au Grand Prix de Monaco, c’est presque une évidence. Mais que Cannes ne se fasse finalement pas non plus l’écho du plus grand bouleversement planétaire depuis l’invention de la terrine de mammouth, c’est plus inquiétant.
Parce qu’il y a eu du monde pour servir de caisse de résonnance au plaidoyer de la lauréate de la Palme d’Or sur les retraites, le gouvernement très méchant et la marchandisation du 7ème art… (ce qui en soit, est une très bonne chose : il faut que l’on entende aussi ces cris-là !), mais aucun influenceur -amateur ou non-, aucun relais de fond d’hémicycle ou d’amphithéâtre pour augmenter urbi et orbi le rugissement glaçant de nos entrepreneurs héroïques du salon Change Now.
On aurait adoré qu’il y ait autant de bruit pour François Gabard que contre le traitement réservé à Lena Mahfouf, que tous les media ont sorti d’une mauvaise « situation ».
On aurait aussi réellement adoré qu’il y ait autant de photos de stands d’exposants qu’il n’y en eut de robes excentriques et pailletées sur la Croisette.
Non pas que je retourne ma veste après avoir moi aussi, passé 13 ans à arpenter les sous-sols du Palais cannois, mais bien que je m’étonne toujours de cette schizophrénie qui s’empare de nous dès qu’un ballon touche les pieds d’un Kilian, qu’un galbe féminin drapé de Dolce monte une marche ou encore au moindre vrombissement d’un V12… : les sujets traitant de l’environnement ne passeront pas le mois de mai… tout au moins dans le Sud de la France.
Roland Garros qui débute saura-t-il tisser un trait d’union entre événement sportif (& people !) et environnement ?
Cela fait près de 10 saisons déjà, et récemment encore plus, sous l’impulsion de l’amie Amélie Mauresmo (entre autres), que le tournoi du Grand Chelem œuvre à changer les choses, petit à petit : célébration de la journée mondiale de l’Environnement, inclusion (journée fauteuils), mobilités durables, biodiversité sur site, énergie renouvelable (toute la zone est équipée de panneaux solaires !), alimentation durable sur site, et évidemment économie circulaire (suppression des contenants à usage unique, redistribution anti-gaspi auprès d’associations, système de tri, suppression des bouteilles plastiques remplacées par des gourdes par Perrier, et recyclage des eaux grises…).
Espérons qu’ils auront pensé à inviter une Iris Mittenaere le temps d’un selfie devant une cuve de recyclage pour qu’on en parle un peu !
Non, je ne crache en rien sur le glamour de Cannes (quand il n’est pas vulgaire et que TikTok n’y prend pas le pouvoir !! Alerte rouge les gars, quand même !!), s’il est l’apanage des membres de l’industrie du cinéma, mais comme ils sont de ceux qui ont le pouvoir de mettre en lumière leurs idées autant que leur silhouette, il serait utile que leurs voix portent sur ces sujets-là aussi !
Alors on a pu écouter la colère de Harrison « Indiana » Ford contre les climatosceptiques, et voir deux fictions traiter du sujet (« Acide » ainsi que « le règne animal ») et l’on se souviendra aussi que les voitures officielles du festival étaient 100% électriques… mais au regard des embouteillages de mega-yachts et du trafic d’hélicoptères, c’est bien peu.
Bien peu.
Je ne donne de leçons à personne : je ne suis pas le plus grand des écolos, et je pense, au quotidien, avoir plus d’un trou dans la raquette pour pouvoir prétendre au titre de meilleur trieur de l’année, par exemple ! Mais je regrette que l’on soit souvent dans une posture lâche selon les circonstances.
« On n’abdique pas l’honneur d’être une cible » nous lance Cyrano. Or, à part quelques féministes, nous sommes un peu dépourvus, en ce printemps 2023, de leaders à la posture solide et constante, chez les célébrités !
A croire qu’il est plus facile de prendre position pour les auteurs de Hollywood que pour la cause climatique.
Quant au bruit, lui, il est pourtant toujours là, venu avec fougue, force et vacuité, du côté de TikTok et d’Instagram ! 20 jours de cure de vide l’ont encore bien prouvé !
A ce sujet et en matière de recyclage, il faudrait trouver un truc pour gérer la « seconde vie » des influenceurs !
Il n’existe malheureusement pas de bacs à tri pour eux, alors que l’on pourrait aisément les répartir en 3 catégories : déchets définitifs (les drop-shippers body-buildés et les poupées à make-up, issus de nos meilleurs programmes de téléréalité et usant de moins de 50 mots de vocabulaire), les déchets nécessitant un reconditionnement (quelques starlettes investies d’une mission et sachant à peu près parler et écrire) et ceux qui restent et peuvent directement être réutilisés en l’état malgré quelques signes d’usure (on les compte sur les doigts d’une main, et sur Linkedin essentiellement).
On exclurait de tout ça, les people (sportifs, beauty miss, pâtissiers, néo-politiques…) qui existent médiatiquement indépendamment des réseaux sociaux, et vis-à-vis desquels il est trop tard pour faire quoi que ce soit, de toute façon : sorte de sempiternelle génération spontanée…
Ce n’est de toute façon pas notre sujet !
Chez Light Me Up, nous aidons principalement des entrepreneurs et des porteurs de projets à impact, décidés à changer le monde, à œuvrer à l’édification d’un meilleur futur pour tous. C’est discret, c’est prenant, excitant, et ça va transformer notre quotidien ! Si toi aussi tu as l’impact chevillé au corps, n’hésite pas à nous contacter ! Même sur Instagram !
En ce moment, pour les startups early-stage, il y a notamment les Pitch Masters 2023. Mais nous avons d’autres façons d’accompagner les projets.
En attendant de voir un monde dans lequel toutes les stars du monde entier se rueront sur les speakers du Change Now, et toutes les startups de France et de Navarre nous appeler pour accélérer, prends-soin du rock n’roll et garde-toi du mal !
« Whisper of the Valley »
Gratte-moi la puce que j’ai dans l’dos !
Nvidia se met à l’heure des défis de l’IA et annonce le supercalculateur d'IA DGX GH200 !!
Attention, je vais sortir des mots que je ne suis pas certain de comprendre, donc ne rougis pas si toi non plus !
Cette nouvelle classe de supercalculateur d'IA connecte 256 superpuces ‘Grace Hopper’ en un GPU massif de 1 exaflop et 144 To pour des modèles géants alimentant l'IA générative, les systèmes de recommandation et le traitement des données.
Tu as compris ? C’est la progéniture d’un éléphant et d’un guépard !
L'énorme espace mémoire (l’éléphant) partagé du NVIDIA DGX GH200 utilise la technologie d'interconnexion NVLink avec le système de commutation NVLink pour combiner 256 super-puces GH200, leur permettant de fonctionner comme un seul GPU. Cela permet d'obtenir 1 exaflop de performance (le guépard !) et 144 téraoctets de mémoire partagée, soit près de 500 fois plus de mémoire que la génération précédente NVIDIA DGX A100, qui a été introduite en 2020.
« L'IA générative, les LLM et les systèmes de recommandation sont les moteurs numériques de l'économie moderne », a déclaré Jensen Huang, fondateur et CEO de NVIDIA.
« Les supercalculateurs DGX GH200 intègrent les technologies de calcul accéléré et de mise en réseau les plus avancées de NVIDIA pour repousser les limites de l'IA. »
La technologie NVIDIA NVLink étend l'IA à grande échelle… ouvrant des portes encore à peine imaginables il y a quelques mois !
C’est même un joli joujou, nouvel outil de recherche pour les pionniers de l'IA que sont Google Cloud, Meta et Microsoft qui sont évidemment parmi les premiers à avoir accès au DGX GH200 afin d'explorer ses capacités pour les charges de travail d'IA générative.
NVIDIA a également l'intention de fournir la conception du DGX GH200 en tant que modèle aux fournisseurs de services Cloud et autres ‘hyperscalers’ afin qu'ils puissent l'adapter à leur infrastructure.
« Construire des modèles génératifs avancés nécessite des approches innovantes pour l'infrastructure de l'IA », a déclaré Mark Lohmeyer, vice président de Compute chez Google Cloud.
« À mesure que les modèles d'IA prennent de l'ampleur, ils ont besoin d'une infrastructure puissante qui peut évoluer pour répondre aux demandes croissantes », a déclaré Alexis Björlin, vice-président de l'infrastructure des systèmes d'IA et des plates-formes accélérées chez Meta. « La conception Grace Hopper de NVIDIA vise à fournir aux chercheurs la possibilité d'explorer de nouvelles approches pour résoudre leurs plus grands défis ».
« La formation de grands modèles d'IA est traditionnellement une tâche gourmande en ressources et en temps », a déclaré Girish Bablani, corporate VP d'Azure Infrastructure chez Microsoft. « Le potentiel du DGX GH200 pour travailler avec des ensembles de données de l'ordre du téraoctet permettrait aux développeurs de mener des recherches avancées à une plus grande échelle et à des vitesses accélérées »…
Une vitesse de pointe dont tout le monde semble attendre les résultats réels afin de booster la R&D !
D’ailleurs, NVIDIA construit son propre supercalculateur d'IA basé sur le DGX GH200 pour alimenter le travail de ses chercheurs et de ses équipes de développement. On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même !
Baptisé NVIDIA Helios, le supercalculateur comprendra quatre systèmes DGX GH200. Chacun d'entre eux sera interconnecté avec le réseau NVIDIA Quantum-2 InfiniBand afin d'augmenter le débit des données pour l'entraînement de grands modèles d'IA. Helios comprendra 1 024 Grace Hopper Superchips et devrait être mis en service d'ici la fin de l'année. (là, en théorie, t’as rien compris, mais c’est normal !)
NVIDIA AI Enterprise, la couche logicielle de la plateforme d'IA de NVIDIA, vient compléter l’offre maison ! Elle fournit plus de 100 frameworks, des modèles pré-entraînés et des outils de développement pour rationaliser le développement et le déploiement de l'IA de production, y compris l'IA générative, la vision par ordinateur, l'IA vocale et plus encore. Demain est déjà dans ta puce !
Cependant, il faudra attendre un peu avant de pouvoir utiliser les supercalculateurs NVIDIA DGX GH200 qui devraient être disponibles d'ici la fin de l'année 2023.
Impatients ?
TikTok vs Montana State !
L’interdiction de TikTok dans le Montana est-elle applicable ?
Sommes-nous vraiment sur la voie de devoir supprimer et retélécharger certaines applications lorsque l’on franchira les frontières d'un État (aux USA) ? Quel est l'avenir des interdictions de TikTok, et pourront-elles jamais être appliquées ?
Ces derniers mois, les responsables politiques américains ont examiné de près l'app en raison de préoccupations liées à l'espionnage chinois, mais l'interdiction imposée par le Montana est la mesure la plus spectaculaire à ce jour.
Les législateurs ont structuré la loi de manière à cibler les marketplaces telles que Google Play et l'App Store d'Apple. À compter du 1er janvier 2024, ces entreprises pourraient se voir infliger une amende de 10 000 dollars par jour si elles mettent TikTok à la disposition des utilisateurs du Montana.
De nombreux experts, politiciens et technologues ont qualifié cette interdiction de ridicule et d'inconstitutionnelle.
Elle fait déjà l'objet de contestations judiciaires. Lundi, TikTok a intenté une action en justice contre le Montana à la suite d'une plainte déposée par un groupe d'utilisateurs, en invoquant des motifs constitutionnels.
Eric Goldman, professeur de droit à l'université de Santa Clara et codirecteur du High Tech Law Institute de l'école de droit, a dit qu'il doutait que les interdictions soient autre chose qu'un jeu politique destiné à faire passer un message : « il ne s'agit que de propagande, et non d'un effort pour assurer la sécurité des habitants du Montana ».
Il n'y a toujours pas de preuve que TikTok transmette des données d'utilisateurs au gouvernement chinois à l'échelle de ce que prétendent les politiciens américains.
Cependant, des propositions d'interdiction de TikTok apparaissent un peu partout aux États-Unis, avec un soutien essentiellement bipartisan, et le président Biden a également menacé d'interdire TikTok à l'échelle nationale.
Ce n'est pas non plus la première fois que les législateurs américains font pression sur TikTok ; en 2020, l'administration Trump a tenté d'interdire l'app, mais sans preuves suffisantes d’espionnage, la demande avait été bloquée.
Quant à son applicabilité, que se passerait-il si l'interdiction du Montana entrait en vigueur ?
Certains ‘TikTokers’ du Montana ont déjà commencé à déplorer la perte potentielle de leurs plateformes et de leurs communautés sur l'application, mais ils n'ont peut-être pas à s'inquiéter outre mesure, car la loi ne menace pas non plus directement de punir les utilisateurs de TikTok.
Le retrait de TikTok des boutiques d'applications réduirait considérablement sa capacité à gagner de nouveaux utilisateurs, et les boutiques seraient chargées de contrôler l'accès en fonction de la localisation de l'appareil.
TechNet, un groupe de pression qui représente Apple et Google, affirme que l'application d'une telle politique est actuellement impossible, car les marketplaces n'ont pas la possibilité d'établir des "géo-frontières" par État.
Selon M. Goldman, les législateurs du Montana n'ont probablement jamais eu l'intention d'élaborer un projet de loi réellement applicable. « Ils adoptent des projets de loi qui n'ont aucune chance de fonctionner un jour, mais ils ne sont pas conçus dans ce but. Elles ont pour but de montrer que les assemblées législatives se soucient de certains électeurs », a-t-il déclaré.
Il est peu probable que l'interdiction du Montana survive à toutes les contestations juridiques, mais il est possible que des projets de loi similaires soient adoptés dans d'autres États, ce qui est d'autant plus intéressant dans le contexte plus large de la réglementation de la liberté d'expression sur internet aux États-Unis.
Les assemblées législatives des États s'influencent mutuellement et servent de laboratoires pour les stratégies politiques nationales des deux partis. Et nous qui pensions que la France avait le monopole des textes de lois inutiles et imbitables, nous voilà dépassés par les américains qui y ajoutent les textes « inapplicables » !
En fin de compte, il semble que ce soit là le véritable danger posé par l'expérimentation de ces interdictions : que LA politique empiète sur l'élaboration DES politiques. C'est une histoire vieille comme le monde. Malheureusement pour nous, cette ère de projets de loi de pacotille sur le web semble être là pour durer…. Tout au moins et pour l’instant de ce côté-là de l’Atlantique !
Avec un peu de chance, on aura rattrapé notre retard dans 4 ou 5 ans !
Séance d’UV pour les japonais !
Le Japon et la JAXA, l'administration spatiale du pays, ont passé des décennies à essayer de rendre possible la transmission d'énergie solaire depuis l'espace.
En 2015, le pays a fait une percée lorsque les scientifiques de la JAXA ont réussi à envoyer une puissance de 1,8 kilowatt, soit assez d'énergie pour alimenter une bouilloire électrique, à plus de 50 mètres d'un récepteur sans fil.
Aujourd'hui, le Japon s'apprête à faire franchir à cette technologie un pas de plus vers la réalité.
Le quotidien Nikkei rapporte qu'un partenariat public-privé japonais tentera d'envoyer de l'énergie solaire depuis l'espace dès 2025. Le projet, dirigé par Naoki Shinohara, un professeur de l'université de Kyoto qui travaille sur l'énergie solaire dans l'espace depuis 2009, tentera de déployer une série de petits satellites en orbite. Ceux-ci essaieront ensuite de transmettre l'énergie solaire recueillie par les panneaux à des stations de réception au sol situées à des centaines de kilomètres.
L'utilisation de panneaux solaires orbitaux et de micro-ondes pour envoyer de l'énergie vers la Terre a été proposée pour la première fois en 1968.
Depuis, quelques pays, dont la Chine et les États-Unis, ont consacré du temps et de l'argent à cette idée. Cette technologie est intéressante car les panneaux solaires orbitaux représentent une source d'énergie renouvelable potentiellement illimitée.
Dans l'espace, les panneaux solaires peuvent collecter de l'énergie quelle que soit l'heure de la journée et, grâce à l'utilisation de micro-ondes pour transmettre l'énergie qu'ils produisent, les nuages ne sont pas non plus un problème.
Toutefois, même si le Japon réussit à déployer un ensemble de panneaux solaires orbitaux, cette technologie relèvera davantage de la science-fiction que de la réalité.
En effet, la production d'un réseau capable de générer 1 gigawatt d'énergie - soit environ la production d'un réacteur nucléaire - coûterait environ 7 milliards de dollars avec les technologies actuellement disponibles.
Ca fait un peu cher la séance d’UV.
« Food for Thought »
La culture : posture ou imposture ?
Dans la Silicon Valley, la culture est l'une de ces choses qui sont devenues nébuleuses. Tout le monde veut avoir une grande culture, mais peu comprennent vraiment ce que cela signifie et comment la construire, en dehors des tables de ping-pong et des happy hours hebdomadaires.
Justin Moore, PDG d'Axcient, estime que la culture, plus que toute autre chose, est l'élément clef qui définit le succès dans la technologie et qu'elle doit être construite dès le premier jour de la vie d'une entreprise.
La mauvaise compéhension de ce qu’est réellement la culture d’entreprise, est précisément ce qui fait dire à certains clairvoyants que « when you got a chief happyness officer, it means sadness is everywhere ! »
Il est fréquent que d’autres confondent culture d’entreprise et team building… Quoiqu’il en soit, la mauvaise compréhension mène à la perte de contrôle !
« Il ne s'agit pas de se tenir la main autour d'un feu de camp, d'un truc ‘kumbaya’. Les valeurs, la culture et la mission n'ont rien à voir avec cela. Il s'agit de construire une organisation pour la réussite. Il s'agit de gagner. Il s'agit de faire des choses tactiques pour s'assurer que l’organisation et le personnel sont alignés sur la même chose ».
La culture ne peut pas attendre !
Lorsqu'on est une petite entreprise, on a l'impression qu'une bonne culture devrait se créer d'elle-même. Ou qu’elle attendra l’arrivée d’un DRH !
Vous embauchez des personnes qui partagent les mêmes idées, vous faites passer des entretiens à tout le monde de la même manière et vous travaillez dur. On pense qu'une culture exceptionnelle sera le résultat de ces choix.
Moore est catégorique sur le fait que ce n'est pas vrai : « les fondateurs de start-ups disent souvent : ‘Écoutez, quand j'aurai cinq employés, je n'aurai pas besoin d'investir dans ces questions de culture. Je dois me concentrer sur le produit. Je dois mettre au point le bon produit. Ensuite, je dois me concentrer sur les stratégies de vente. Tout cela peut venir plus tard’. Le problème est que, même dans une start-up, vous disposez d'une culture et d'un système de valeurs, mais vous ne les contrôlez pas forcément. »
Si le PDG ne donne pas le ton de la culture de l'entreprise, quelqu'un d'autre - ou un autre facteur - le fera. Cela peut facilement se transformer en dysfonctionnement généralisé. M. Moore explique qu'il est préférable de ‘diriger depuis le front’, d'être intimement impliqué dans la définition de l'éthique, de l'orientation du travail, de l'embauche et de l'intégrité personnelle.
Il compare une entreprise dotée d'une culture commune forte et d'un sens de l'objectif à une équipe de godillots bien encadrée : tout le monde rame dans la même direction, avec la même intensité, et un lien profond de confiance mutuelle lie les intérêts du groupe.
Penser ce que l'on dit (étape 1 !)…
En 1997, Enron a envoyé une lettre régulière à ses actionnaires. Sur la première page de la lettre, Enron énumère ses valeurs fondamentales. La première était « intégrité ». LOL !
La société l'a même fait graver dans le marbre de son siège social. Les valeurs n'ont d'importance que si elles sont vécues au quotidien. Tu dois être prêt à embaucher et à licencier en fonction de ces valeurs. « Vous devez être prêt à prendre des décisions difficiles. Il n'est pas acceptable d'avoir une star, votre meilleur vendeur ou votre meilleur ingénieur, qui n'adhère pas à vos valeurs. C'est ce qu'a fait Enron. Il n'y a pas d'exception », souligne M. Moore.
:: Dans une entreprise, les valeurs n'ont d'importance que si l'on en fait quelque chose. ::
Recrutement + culture : les deux mamelles de l’engagement ! (étape 2)
M. Moore a constaté que le fait de rester impliqué dans le processus d'entretien aussi longtemps qu'il est humainement possible de le faire est l'un des meilleurs moyens de maintenir une culture cohérente tout au long de la croissance de l'entreprise. « Le fait de rester impliqué montre que les gens sont importants dans cette entreprise, que la culture est importante, qu'il est important d'embaucher les bonnes personnes et que le PDG adopte une approche pratique », explique M. Moore.
Bien entendu, à mesure que l'entreprise se développe, si le PDG est impliqué dans toutes les décisions d'embauche, vous atteindrez un point de rupture - qui, pour Moore, se situait aux alentours de 75 personnes.
75 personnes ! A confronter aux différents « stades » défendus par Anne Caron dans son livre « Zéro to 1000 » sur le même sujet (entre autres) de la Culture…
Compte tenu de cette contrainte, il a décidé de faire passer des entretiens à tous les cadres plutôt qu'à tous les collaborateurs. Il ne s'agit peut-être que d'un examen de CV et d'un entretien de 15 minutes, mais M. Moore s'assure de toucher tous les cadres au cours du processus d'entretien. « Vous êtes le dirigeant de l'entreprise. Vous devriez mieux connaître la culture de l'entreprise, le type de personne que vous recherchez, et vous devez procéder à une sélection dès les premières étapes afin de protéger votre culture. »
Inonder les employés de culture (phase 3)
La cohérence est un autre défi majeur en matière de culture. Vous devez communiquer les valeurs de votre entreprise à vos employés dès le début, et souvent ; il doit s'agir d'un battement de tambour constant.
Ces points de contact comprennent l'intégration des employés, les évaluations trimestrielles/annuelles, les courriels, les réunions de travail, les entretiens et même les récompenses de l'employé du mois ou les rituels de célébration réguliers. Attends ! Je t’entends déjà : comment est-il possible d'offrir de tels prix sans provoquer des commentaires désobligeants et des ricanements de la part des autres employés ?
Moore était d'abord sceptique lorsque son équipe lui a soumis l'idée d'une récompense mensuelle, mais il a été surpris de constater à quel point cette célébration commune a permis de créer un climat de camaraderie au sein du personnel. L'enjeu est d'autant plus important que chaque gagnant reçoit 500 actions (ainsi qu'un prix en plastique à exposer sur son bureau). C'est devenu un moyen pour les pairs de reconnaître les contributions de chacun et pour les employés de l'entreprise de renforcer leur culture commune. Les candidats sont choisis par leurs pairs et la direction les sélectionne parmi eux.
Sans cet effort, l'unification est perdue. Tu peux demander à des dizaines d'employés différents quelle est la culture de l'entreprise et constater que chacun répondra quelque chose d'unique. Si plus de 80 % des employés peuvent répéter presque mot pour mot les valeurs énoncées par l'entreprise, c'est que tu es sur la bonne voie.
Moore utilise des enquêtes semestrielles et des analyses comparatives pour déterminer ce que les gens pensent de l'organisation. En tant que dirigeant, ça te permet non seulement de savoir où tu en es, mais aussi de donner aux employés le sentiment d'être responsables et de participer à l'amélioration de la culture et de l'entreprise.
Moore organise également des réunions hebdomadaires individuelles entre les cadres et les employés pour déterminer comment améliorer la culture. « Il ne s'agit pas seulement de gérer une équipe, mais aussi des individus ».
La transparence et le contexte créent la confiance (phase 4)
Au début, Moore craignait surtout que le partage des mauvaises nouvelles ne plonge son équipe dans un état d'inquiétude permanent ou, pire encore, que beaucoup n'abandonnent complètement l'entreprise.
Il a découvert exactement le contraire. Lorsque l’entreprise a manqué de liquidités, les gens se sont ralliés à l'entreprise et ont demandé : « Que pouvons-nous faire ? Que devons-nous faire ? Tout le monde s'est rallié aux objectifs, parce que tout le monde savait ce qui était en jeu, et tout le monde respectait le fait que nous les traitions comme des adultes, comme des membres de l'équipe, et que nous les impliquions dans le processus de construction de l'entreprise. La transparence et le contexte créent la confiance ».
La transparence, c’est souvent, comme le rappelle David Bizer, spécialiste des questions RH et de culture d’entreprise, une question de « comment circule l’information » et de « comment sont prises les décisions », deux domaines pour les quels la question de la transparence est clef !
La deuxième partie de l'établissement de la confiance est le contexte.
Lorsque les gens comprennent le contexte dans lequel les décisions importantes sont prises par les dirigeants et qu'ils sont traités avec respect, ils seront plus enclins à faire preuve de la même loyauté. Moore donne un exemple récent : un tiers de son équipe de vente a dû être licencié. Le manuel typique du manager lâche l'aurait encouragé à blâmer les « conditions du marché » ou une autre excuse vaseuse !. Au lieu de cela, Moore a expliqué que l'entreprise était en train de modifier sa stratégie de vente et que les licenciements faisaient partie des mesures à prendre pour y parvenir.
Moore explique : « tout le monde a eu l'impression que les personnes que nous avions licenciées faisaient partie d'une famille. Nous respectons l'équipe, car l'esprit d'équipe est l'une de nos valeurs. Nous ne les avons pas traités comme des pions dans un jeu d'échecs. Ils ont compris pourquoi nous avons pris des décisions difficiles ».
Lorsque les employés disposent d'un contexte suffisant pour comprendre le fonctionnement de leur service, sa place dans la stratégie globale et la situation financière de l'entreprise, il est beaucoup plus simple d'encourager tout le monde à s'adapter à l'évolution de la situation. Cela réduit le nombre de ‘mauvaises surprises’ résultant d'un manque de réflexion ou d'effort de la part des responsables pour communiquer le contexte de leurs décisions.
Lorsque les gens connaissent les raisons des actions de l'organisation, ils sont plus susceptibles d'être persuadés et de transmettre à leurs pairs leur motivation à remplir la mission de l'entreprise.
C'est également un type de leadership qui exige du courage de la part du chef d'entreprise.
Moore déclare : « il est facile de s'éloigner et de ne penser qu'aux produits, aux ventes et au marketing avec toutes les pressions que l'on subit en tant que CEO, mais il faut veiller à consacrer du temps à la culture ».
Il suggère que, comme le général George Patton, aucun dirigeant ne devrait ordonner à quelqu'un de faire quelque chose qu'il n'est pas prêt à faire lui-même. Si les employés savent que leur chef travaille avec eux ‘sur le front’, plutôt que de leur donner des ordres depuis des hauteurs olympiques, ils seront plus enclins à trouver en eux le courage de résister aux périodes les plus difficiles.
Moore a réitéré son point de vue avec une dernière réflexion : « prenez le temps de la culture. Prenez du temps pour les valeurs. Prenez le temps de créer un lieu de travail incroyable, qui se concentre impitoyablement sur une mission. Faites en sorte que tout le monde soit aligné ».
Et pour conclure cet article, et au cas où tu te poserais la question, voici les valeurs fondamentales d'Axcient :
1- Partenaires/Clients d'abord - Le succès de nos utilisateurs est notre succès. Que nous travaillions avec vous sur un déploiement ou que nous concevions les améliorations dont votre industrie a besoin, nous sommes avec vous à chaque étape du processus.
2- L'équipe d'abord - Le succès exige un groupe de personnes dévouées et passionnées qui travaillent toutes dans le même but. Les événements d'équipe tels que les barbecues d'entreprise et les sorties mensuelles font partie intégrante de notre culture. Nous nous amusons et travaillons dur - ensemble.
3- Intégrité - Chaque jour, nous voulons être fiers du travail que nous fournissons à nos clients. Nous sommes aussi fiers de nos solutions et de nos services que vous l'êtes de votre entreprise.
4- Construire des produits inspirés - En réunissant les ingénieurs les plus brillants et le groupe le plus avisé de cadres de la Silicon Valley, nous créons la solution la plus complète du marché pour stocker, protéger et accéder aux informations et aux systèmes de données des entreprises, à tout moment et en tout lieu.
5- Résultats - Nous sommes convaincus qu'il faut obtenir les meilleurs résultats dans tout ce que nous faisons. Des ventes au marketing en passant par le support, l'ingénierie et les opérations, nous nous efforçons en permanence d'être une équipe d'action - une équipe qui travaille ensemble pour atteindre nos objectifs et tenir nos promesses.
Je t’invite à aller voir du côté d’Amazon, de Netflix, ou d’autres big players de la Silicon Valley pour y découvrir des cultures fortes, posées « from day one » ! Assez loin du baby-foot et de l’open coffee-bar, non ?
Cette rubrique est toujours rédigée grâce aux conseils de First Round Review.
Stop the BULLSHIT !
Pour rappel, un mercredi sur deux, tu retrouves Pierre Gaubil qui est notre invité pour conseiller, débriefer et renforcer le pitch d’un fondateur de startup ou simplement pour parler d’une phase clef de la vie des startups ! C’est avec toi, grâce à tes questions, et c’est à midi et demi, pour t’aider à apprécier votre Pokebowl.
On t’attend et pour encore plus de plaisir, n’hésite pas à nous retrouver sur notre page YouTube !
« Friends and Network »
Comme chaque semaine, c’est ta rubrique : envoie moi des infos sur ta startup, et j’en parle ici !
Des nouvelles de Yuwway, dans ta poche !
Il y a quelques temps de cela, je te parlais par ici de Yuwway, la solution intégrée pour les mobilités douces en milieu urbain ! Eh bien en quelques mois, Yuwway a bien grandi !
Et c’est maintenant avec une nouvelle version accessible ici (sur Androïd et iOS !)
Et c’est extrêmement simple de passer à l’action et de rejoindre la meilleure façon de se déplacer en ville de façon la plus proche, la plus rapide et la moins chère !
1. tu télécharges l'app
2. tu testes l'app
3. tu fais ton feedback
4. tu mets un avis sur les stores
Et comme c’est un lancement, Yuwway ne fait pas les choses à moitié. Si tu peux retrouver l’équipe sur VivaTech en juin prochain, c’est en Angleterre que Jamel Ghechoua et sa bande frappent encore puls fort : au plus grand salon de mobilité au monde à Londres du 21 au 22 juin au MOVE 2023 ! Et pour les y retrouver, c’est par ici !
Entre temps, Yuwway est partout. Et c’est normal, pour une startup qui te promet de t’emmener partout où tu veux, non ? Yuwway est partenaire de l'événement Last Round 2 (qui s’est tenu le weekend dernier !)
N’oublie pas Vivatech pour aller à leur rencontre, en utilisant l’app !!! C’est du 14 au 17 juin à Paris, porte de Versailles !
Et si tu veux en savoir davantage avant toutes ces dates, retrouve Jamel sur Bsmart !
Fungu’it, le champignon magique !
J’ai découvert Anas, le fondateur de Fungu’it à un évémenent créé par Pierre Gaubil autour de 34 Elements ! Et l’histoire m’a touché !
Chez Fungu'it, ils ont une mission simple : réconcilier notre alimentation, notre santé et celle de la planète !
Ils œuvrent à transformer la manière dont nous consommons des protéines, en offrant une alternative durable, locale et naturelle.
Pourquoi ce défi ? D’abord, des prévisions pas très fun : d'ici 2050, la demande de protéines augmentera de 70% et l'industrie agroalimentaire ne pourra pas suivre.
On sait que notre consommation de viande doit être réduite (impact environnemental et santé hyper forts, comme je le rappelle tout le temps : mangez moins de viande mais mieux de viande !) et les alternatives végétales actuelles sont loin d’être au rendez-vous : ultra-transformées, bourrées d’additifs et chargées d’un goût « pathogène mais presque » !
Pour toutes ces raisons, Anas et Jeanne, deux ingénieurs passionnés, ont uni leurs forces pour créer Fungu’it ! Mais alors c’est une histoire pas si évidente que ça, parce qu’il a fallu qu’ils se rencontrent autour de 3 mots clefs qui en auraient rebuté plus d’un !
Champignons, fermentation, coproduits (agricoles). (bon, ça fait 4 mots, mais on s’en fout !)
Ils ont mis en place un processus unique de fermentation qui valorise ce qu'on appelle les coproduits agricoles. Ce sont des résidus qui restent après les récoltes, comme les sons de céréales ou les graines pressées pour faire de l’huile.
En cultivant des champignons sur ces coproduits, ils créent un environnement parfait pour la fermentation. Le champignon se développe, transforme le coproduit et l’enrichit en protéines. Une fois ce processus terminé, ils obtiennent un produit fermenté qu’ils réduisent ensuite en poudre pour obtenir un super ingrédient protéiné, prêt à être utilisé par les industriels dans leurs recettes.
Le process de Fungu’it permet de réduire de 95% les émissions de CO2, le besoin en eau et en terre par rapport à de la viande de bœuf.
Et en plus d’être une bombe nutritive, la startup permet aux industriels de réduire sensiblement leur liste d’ingrédients !
Fungu’it peut cibler de très nombreux marchés : alternatives à la viande et aux laitages, snacking, boulangerie, nutrition clinique et sportive, pet food, et même celui très lucratif de la cosmétique !
Après plus d'un an de recherche et développement avec les meilleurs experts en fermentation, les fondateurs ont déjà un premier produit industrialisé !
Fungu’it démarre dès le mois de juin 2023 l’envoi de ses premiers échantillons aux industriels (Danone, Nestlé, Bel, Nutrition & Santé…) ! Et la startup vise une première commercialisation en fin d’année !
On est loin des traditionnelles boites SaaS ou des applications qui sont légion par ici, mais cette boite, originale, mérite selon moi le détour ! Aujourd’hui, les deux co-fondateurs ont besoin de visibilité et de rencontres avec des partenaires industriels alors n’hésite pas à leur rendre visite sur Linkedin déjà !
Les champis, c’est magique, c’est bien connu ! Billy ze Kick le chantait déjà dans les années 90 !
« Tendances de la semaine »
Un livre : “From Survival to Thrival”, un livre sur les entrepreneurs… pour une fois. Si tu es un entrepreneur et que tu es en pleine création d'entreprise, Survival to Thrival est fait pour toi. Au début, il s'agit simplement de survivre - comment ne pas mourir ? Avec de la chance et un travail acharné, il s'agit ensuite de « Thrival » s’épanouir et grandir - comment gagner ?
« S2T » est le fruit de la fusion d'un triple entrepreneur, d'un VC et d'une communauté d'entrepreneurs qui démystifie la création d'entreprises en phase d’amorçage. La mission du livre est de t’aider à réussir, à anticiper ce qui va suivre et, surtout, à savoir que tu n’es pas seul.
Les co-auteurs ont commis deux opus de leur bible sur « comment monter une startup et bien gérer les premières années »… et je vous les conseille ardemment !
Un son : si tu aimes la musique classique, je vais faire un peu de publicité à ma sœur, violoniste de génie, artisane de programmation d’excellence pour le festival d’Entrecasteaux dont elle a la charge de la direction musicale depuis quelques années… Le festival d’été, petit poucet des réunions musicales du mois d’août, est pourtant un point d’orgue dans la balade de l’amateur de classique.
Cette année, pour la 41ème édition, c’est du 17 au 20 août que vous pourrez retrouver le meilleur de l’interprétation Européenne, entre soleil, pastis et tonnelles… et croiser Mozart, Dvorak, Brahms, Shaw, Beethoven, Schumann et tant d’autres… prenez vos places dès aujourd’hui !
Un autre truc : Edouard Baer, toujours au Théâtre Libre, avec son Journal de Paris…. Je n’y peux rien, je suis fan ! Je vous en reparlerai probablement à nouveau bientôt !