Elodie et Nash présentent...

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Elodie & Nash présentent… Un an déjà !

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Elodie & Nash présentent… Un an déjà !

Cette Newsletter vous invite dans le monde en mouvement que nous partageons avec vous : nous y parlons d'innovation, de transformation, de grandes idées, de culture et d'entrepreneurs.

Light Me Up
Feb 23
1
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Elodie & Nash présentent… Un an déjà !

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🏜 WHISPER OF THE VALLEY

  • 🕵️ Accord secret Google/Apple ?

  • 🔵 Meta petite vérification bleue… le badge pour tous, contre tes sous !

🍔 FOOD FOR THOUGHT

  • 🤔 Pourquoi un pivot est un échec ?

  • ❌ Stop the BULLSHIT !

🌐 FRIENDS AND NETWORK

  • 👯‍♀️ Aum Stories, une histoire de sœurs…

  • 💻 Mooji, le management augmenté…

⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE

📝 EDITO

Pour un entrepreneur, gérer l’inconnu, l’inattendu, réagir face aux aléas, c’est une situation quotidienne.

Qu’en est-il des entrepreneurs Ukrainiens depuis 12 mois ? Il y a un an exactement, la tech Ukrainienne connaissait un chamboulement d’une puissance inimaginable, tout comme le reste de l’Ukraine.

Comment s’en sortent ces entrepreneurs, un an plus tard ? On en a vu quelques-uns à Vivatech en 2022, on en voit parfois, qu’ils soient expatriés de fortune ou résistants sur place, faire comme si c’était « business as usual », dans les media.

Il ne nous est tout simplement pas permis de nous mettre à leur place.

Comment dealer avec le quotiden d’une boite quand le fil slack est rempli de décompte de corps, de nouvelles du front ou bien de news des familles respectives ? Comment garder le cap quand les coupures de courant sont aussi fréquentes ? Comment penser l’avenir quand il n’y a pas de certitude de voir demain ?

Face à cette adversité sans commune mesure avec celle que l’on connaît ici, les joies, les succès et quelques triomphes revigorants sont cependant au rendez-vous !

Au-delà des activités régulières des sociétés de la tech en Ukraine, il ne faut pas non plus oublier la participation à l’effort de guerre de certaines d’entre-elles, soit en mettant à disposition de l’armée des compétences internes (pour la guerre cyber, notamment), soit en développant des outils vitaux pour les populations civiles, adaptés aux nouveaux modes de vies (alertes bombardement sur les téléphones, par exemple). Au même titre que nous avions eu nos « héros tech » du covid, l’Ukraine peut compter sur la solidarité de son tissu d’entrepreneurs, de développeurs, et autres acteurs du monde des startups.

Quoiqu’il en soit, et bien que nous apportions tous les jours des conseils, des méthodes et des postures à adopter aux entrepreneurs que nous accompagnons chez Light Me Up, il n’existe pas de manuel, pas de « how to », pas de solutions testées et approuvées, pour venir en aide aux entrepreneurs Ukrainiens.

L’agilité de cette communauté permet à 40% de ses membres de penser qu’ils feront plus de résultat sur l’année en cours que sur l’année 2021, qu’ils maintiendront comme ils l’ont déjà fait en 2022, près de 60% de leurs sièges sociaux en Ukraine, et qu’ils trouveront des relais de croissance à l’étranger là où le marché interne s’est effondré (ce qu’ils ont déjà fait, d’ailleurs pour la plupart !).

Dans quelques jours, la guerre en Ukraine aura un an. Un an d’atrocités, de crimes et de propagande aux portes de l’Europe.

Souhaitons qu’elle ne dure pas.

Et pour ce faire, prends bien soin du rock n’roll et garde-toi du mal !

🏜️ Whisper of the Valley

🕵️ Accord secret Google/Apple ?

Un rapport de The Register de vendredi dernier affirme que Google reverse à Apple une partie de ses revenus de recherche issus de Chrome sur iOS. Cela expliquerait pourquoi Apple n’a jamais développé de moteur de recherche concurrent ou pourquoi il laisse dériver son navigateur Safari sans en faire un challenger sérieux de la filiale d’Alphabet.

Cet arrangement avait déjà été mis à jour en 2020 par Bloomberg qui évoquait à l’époque une source qui relevait des accords « privés ».

Parmi les revenus d’Apple, la part venant de Google était connue pour être le fruit de l’installation de son moteur de recherche par défaut sur les produits Apple. Apparemment, il y aurait un autre élément clef passé sous silence !

Et les montants que Google reverse à Apple dans le cadre de « l’utilisation du moteur de recherche sur Chrome via iOS » n’est pas clair ni défini.

Tous ou partie de ces éléments ressortent en ce moment dans les pages des rapports de l’enquête de la Competition and Markets Authority (UK) parus l’an dernier. Dans ce rapport apparaît aussi une zone grise de l’accord qui stipulerait que « Google a payé des milliards de dollars à Apple et a accepté de partager ses bénéfices avec Apple pour éliminer la menace et la peur d'Apple en tant que concurrent »…

Si toutes ces allégations sont vraies, elles ne manqueront pas de faire bondir les structues anti-trust partout dans le monde. Qu’il s’agisse de l’accord pour faire de Chrome le navigateur par défaut ou pire encore, qu’il y ait réellement un partage des revenus !

Affaire à suivre !

🔵 Meta petite vérification bleue… le badge pour tous, contre tes sous !

L’arrivée du Meta Verified n’était plus qu’une question de jours et c’est maintenant chose faite. Le service d’abonnement et de vérification de Meta est donc arrivé sur Instagram sur la nouvelle mise à jour de l’app. Le but du jeu ? pouvoir bénéficier de l’affichage de la petite pastille bleue « profil vérifié » contre un abonnement mensuel allant de $11,99 à $14,99 par mois, selon qu’on est sur le web ou sur iOS !

Ca coûte la vérification !

Pour justifier le choix de l’abonnement, Zuckerberg avance le besoin de renforcer la transparence et la sécurité sur les réseaux sociaux de Meta.

Meta va d’abord tester l’appétence pour la pastille bleue en Nouvelle Zélande et en Australie avant de se lancer globalement !

Marchant dans les pas de Twitter, et élargissant l’octroi de ce badge d’authenticité à monsieur et madame « tout le monde », Meta monnaie donc ce qui faisait auparavant rêver les utilisateurs : l’appartenance au club des « rich and famous » qui bénéficiaient avant, seuls, de cette distinction !

Contrairement à l’opération du mois de novembre dernier foirée chez Twitter pour cause d’usurpation d’identités, opération qui avait contraint le gazouilleur bleu au retrait de son abonnement dans un premier temps, Meta assure avoir pris toutes les mesures pour éviter ce type de dérives grâce à des vérifications de pièces d’identité gouvernementales !

C’est donc la fin des pseudos pour ceux qui souhaitent bénéficier de leur petit badge bleu, c’est aussi impossible pour un mineur d’obtenir le badge… cependant, cette nouvelle règle ne s’appliquera pas pour ceux qui bénéficient déjà de leur badge… on voit mal Rihanna devoir renommer son compte Insta (Badgalriri) en un compte « Robin Rihanna Fenty »…

Alors même que l’influence repose sur la visibilité de ce que nous sommes sur les réseaux, le fait de passer par la case « authenticité » pourrait bien être contre-productif pour nombre de micro-influenceurs… si « MilleEtUnVins » devient du jour au lendemain « Michel Dempierre », on sent bien là, le souci et pourtant, à ce jour, le compte de Michel pourrait bénéficier, avec ses 20k followers d’un badge bleu.

Payer pour prouver qu’on est Michel alors qu’on s’est fait connaître sous « MilleEtUnVins » ne présente pas grand intérêt.

Mais vous verrez bien !

🍔 FOOD FOR THOUGHT

🤔 Pourquoi un pivot est un échec ?

Craquer ou abandonner ? Conseils tactiques pour les fondateurs confrontés à des décisions difficiles en matière de création d'entreprise

Les fondateurs ont tendance à vénérer la persévérance. 

Après tout, la tradition des startups est marquée par des histoires «à cuisson lente» comme celle de Roblox ou (plus récemment) de Figma, où il a fallu des années de patience pour arriver à ce point d'inflexion et à un résultat démesuré. 

L'aversion pour l’abandon, l’échec est si forte que nous optons pour des euphémismes plus doux, comme « pivoter », « itérer » ou « aller dans une direction différente ».

Quand on regarde des histoires de réussite qui ont mis longtemps à se construire, on est tenté de dire que ‘tenir bon, c'est ce qu’il faut’ - point final. Alors qu’en réalité, « le succès vient du fait qu’on a su laisser des choses sur le côté de la route et ne conserver que ce qui fonctionne ! »

Pivoter ? Réel abandon, saveur d’échec…

Les revers, les abandons, les échecs se déclinent en différentes façons. Dans le contexte d'une startup, la suppression d'une fonctionnalité qui a fait un bide d’un produit n'a rien à voir avec le choix difficile de mettre fin complètement à l'activité de l’entreprise. Mais si l’on prend le mot "pivot", malgré ses connotations entrepreneuriales, c'est un abandon déguisé, derrière lequel on a trop tendance à vouloir cacher un véritable échec ou un vrai revers.

Stewart Butterfield développait un jeu en ligne, puis il s'est tourné vers la création de Slack – c'est abandonner l’idée originelle. Il a arrêté de développer un jeu. Ou si l’on prend Notion, où les fondateurs ont une histoire systématique de rejet et redéveloppement du code, de réduction des effectifs et de perpétuelle reconstruction du produit à partir de zéro, la clé à retenir de ces histoires est qu'ils ne se contentaient pas de se cogner la tête contre un produit qui ne fonctionnait pas, mais bien qu’ils ont choisi d’abandonner des pistes précédentes… avant de trouver le bon produit !

Mais la frontière entre le moment où il faut persévérer et le moment où il faut jeter l'éponge n'est généralement pas claire. 

Voici pourquoi tant de fondateurs optent pour la persévérance, même s'ils ne le devraient pas : avoir ce grand objectif de créer une startup prospère, c'est ce que l’on abandonne lorsque l’on ferme une entreprise. Admettre à ce moment-là que l’on ne peut plus faire faire autrement, c'est se dire « j’ai échoué ».

Et l’on préfère le voir comme tel. On est loin des philosophies qui remettent l’échec à leur juste place, comme le faisait Mandela : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends ! »

Alors, comment les fondateurs peuvent-ils surmonter ces biais cognitifs et prendre la bonne décision ? Comment pouvons-nous mieux repérer ces cas sur le moment, nous épargnant des déceptions et des impasses ? Annie Duke, autrice bestseller et experte en Science de la Décision, partage cinq stratégies pour discipliner sa prise de décision et se sentir plus à l'aise avec l'échec ou l’abandon :

Stratégie #1 : entraîner le singe avant de construire le piédestal.

"Ma principale recommandation est que vous devez comprendre si vous devez ou non continuer le plus rapidement possible. Et le modèle que j'aime utiliser pour cela vient d'Astro Teller, qui est le PDG ou "Captain of Moonshots" chez Google X », explique Duke.

"Ce groupe essaie de faire des choses super innovantes qui ont de très fortes chances d'échouer. Ils explorent d'énormes découvertes non progressives et veulent commercialiser ces grandes idées qui changent le monde d'ici cinq à dix ans. Mais même chez Google, ils ont des ressources limitées. Vous ne disposez que d'un certain temps, d'une attention donnée et d'un budget fixe », dit-elle. « Et donc Astro Teller essaie de comprendre si un projet vaut la peine d'être poursuivi ou non, en particulier par rapport à toutes les autres choses qu'ils pourraient poursuivre dans son équipe. Et il essaie de prendre cette décision le plus rapidement possible.

Teller s'appuie sur un modèle mental inhabituel pour y arriver. « Imaginez que vous avez décidé d'entraîner un singe à jongler avec des torches enflammées tout en vous tenant debout sur un piédestal sur la place de la ville. Si vous pouviez faire ça, vous gagneriez beaucoup d'argent. Mais lorsque vous abordez cette idée, vous ne devez pas commencer par construire le piédestal. Au contraire, vous devez vous assurer que vous pouvez réellement entraîner le singe à jongler avec les torches enflammées », explique Duke.

« Parce que c'est le goulot d'étranglement. Il ne sert à rien de construire le piédestal si vous n'avez pas compris si vous pouvez ou non amener le singe à jongler avec les torches enflammées. C'est l'inconnu. », dit-elle. « Teller dit de s'attaquer d'abord à la partie la plus difficile, car tout le reste ne fera que créer une illusion de progrès. »

Stratégie #2 : tempérer ses projections en s’appuyant sur les chiffres et des statistiques observés

"Le fondateur n'est qu'un individu pris dans sa propre perspective", déclare Duke. Ainsi, il faut observer l’environnement pour établir ce qui est normal de ce qui ne l’est pas. Etablir des zones de fluctuation normées, valider les éléments perturbateurs d’un écosystème. A ce titre par exemple, il est facile d’envisager des fluctuations de valeurs d’entreprises SaaS dans un environnement stable alors qu’il est inutile d’essayer de trouver une prévision sur les ouragans en se basant sur les 100 dernières années de relevés météorologiques vus les récents bouleversements climatiques…

Stratégie #3 : calculer la valeur attendue.

« Lorsque nous commençons quoi que ce soit, il y a une sorte de valeur attendue facile à calculer. Essentiellement, vous pouvez y penser comme suit : les avantages l'emportent-ils sur les inconvénients ? Lorsque l'avantage est suffisamment important pour l'emporter sur l'inconvénient, nous dirions alors que nous gagnons à la décision - nous sommes positifs en valeur attendue », dit-elle. « Pour être clair, cela ne signifie pas que l'entreprise n'échouera jamais. Cela signifie que si vous deviez prendre cette décision à nouveau, il y aurait suffisamment d'avantages pour compenser les inconvénients qui y sont associés. »

D'un autre côté, lorsque la valeur attendue est négative, c’est le signe qu’il faut s’en aller, changer, abandonner. « Mais nous pouvons élargir cela à d'autres situations. Supposons que vous progressez vers votre objectif, mais il y a d'autres choses que vous pourriez faire qui sont associées à encore plus d'avantages. Alors il vous incomberait de passer à la chose qui a encore plus d'avantages. Le jeu développé par Stewart Butterfield avant Slack en est l'exemple parfait ! », déclare Duke.

« Ils gagnaient beaucoup de clients et faisaient un gros effort marketing, mais il semblait qu'ils allaient atteindre le seuil de rentabilité sous 30 mois, seulement s'ils pouvaient soutenir une croissance forte. Ce que Stewart a réalisé, c'est qu'ils pouvaient arriver à un moment où ils allaient gagner de l'argent, mais que cela ne ferait jamais une grande entreprise. La valeur attendue était très probablement positive, mais elle n'était tout simplement pas assez importante par rapport à ce qu'il pensait pouvoir accomplir. »

Stratégie #4 : faire appel à un coach de l’échec, de l’abandon…

« Lorsque vous êtes réellement confronté à des questions comme ‘Est-ce que je vais simplement jeter ce produit ou est-ce que je vais changer de stratégie ?’, il est difficile de prendre la bonne décision. L'une des meilleures stratégies pour mieux prendre ces décisions d’abandonner ou pas, c’est en fait de demander à quelqu'un d'extérieur de vous aider », explique Duke.

« Je prends l’exemple de Ron Conway, qui se targue vraiment d'aider les fondateurs à abandonner. Les gens seraient surpris parce qu'il a aidé beaucoup de gens à atteindre le succès. Mais l'une des choses dont il est le plus fier, c'est d'aider à libérer le fondateur qui est face à un cul de sac, afin qu'il puisse travailler sur autre chose d'incroyable », dit-elle. « Il est difficile de prendre ces décisions par nous-mêmes, mais nous pouvons généralement les recevoir positivement quand elles viennent de l'extérieur. »

Les conseillers externes disposent d'un point de vue et d’un ensemble de données beaucoup plus larges qu'un fondateur. Ils sont aussi libéré de la pression d’avoir travaillé à quelque chose d’inutile depuis trop longtemps… et ils sont aussi capables de voir quand des collaborateurs mal rémunérés et remerciés par de l’equity doivent être libérés… quand l’equity ne vaut plus leur temps notamment !

Stratégie #5 : définir des critères précis de « destruction ».

Prévoir des KPI qui permettent de se dire si oui ou non l’on continue, des indicateurs permettant de piloter jusqu’à l’arrêt des moteurs, est primordial. « Ces repères deviennent ce que j'appelle des critères de destruction, littéralement des critères pour tuer un projet ou changer d'avis ou réduire vos pertes. Si vous ne les atteignez pas, cela signifie que vous allez arrêter », dit Duke.

« Si vous êtes en pré-revenu, cela peut concerner le produit : comment se déroulent les tests ? Quelle est votre capacité à embaucher et à enthousiasmer les autres ? Pouvez-vous raconter l'histoire d'une manière convaincante qui incite les gens à vouloir vous donner de l'argent ? » dit Duke.

« L'examen de ces critères à une cadence régulière avec un conseiller externe vous aidera à atténuer votre tendance à dire : ‘je sais que je peux pivoter. Je peux modifier le message ou embaucher un nouveau vendeur, etc’… 

Un moyen simple de développer des critères de ‘mise à mort’ consiste à utiliser « des chiffres et des dates. « Si d’ici le (date), j’ai/n’ai pas (atteint un état particulier), j’arrêterai.’ »

« Vous devez établir un calendrier serré et identifier les indicateurs détaillés, à l'avance. Ce que je veux éviter, c'est que l’on se répète qu’on a juste besoin de peaufiner les choses au lieu d’atteindre les objectifs ! »

(Source, First Round Review)

❌ Stop the BULLSHIT !

Pour rappel, ce mercredi, comme un mercredi sur deux, tu retrouves Pierre Gaubil qui est notre invité pour conseiller, débriefer et renforcer le pitch d’un fondateur de startup ou simplement pour parler d’une phase clef de la vie des startups ! C’est avec toi, grâce à tes questions, et c’est à midi et demi, pour t’aider à apprécier votre Pokebowl.

On t’attend et pour encore plus de plaisir, n’hésite pas à nous retrouver sur notre page YouTube ! 

🌐 FRIENDS AND NETWORK

👯‍♀️ Aum Stories, une histoire de sœurs…

L’une est designer, l’autre couturière, ensemble elles lancent la marque concept Aum Stories. Elles sont toutes les deux designers en réalité !

Ces jeunes femmes, sœurs, se lancent à l’assaut du monde et du 17ème arrondissement de Paris, depuis leur boutique du cœur des Batignolles, un quartier qui leur ressemble : des créateurs et de jeunes marques à chaque coin de rue, des cafés et des restaurants pour s’étirer le neurone à folklore, un quartier qui vit dans son époque, à la recherche du beau, du durable et de l’éthique.

Norma citait un ancien dirigeant d’Hermès qui disait « le luxe, c’est ce qui se répare » et elle s’écria aussitôt après « c’est ça qu’on fait ! ».

Le luxe, chez Laura et Norma, c’est surtout l’amour des matières, le souci de la tradition et des métiers qui permettent à des savoir-faire de perdurer, le talent des créations, mais les prix, eux, sont abordables !

Ici, que l’on veuille décorer ou s’apprêter, tout est fait main, tout est le fruit de l’artisanat d’excellence dont la France regorge ou regorgeait… et Aum Stories permet de s’approprier un instant ces trésors de finesse et de perfection.

Comme c’est abordable, ce serait dommage de ne pas profiter de leur site internet pour y faire une ou deux acquisitions, surtout grâce au code dont bénéficient nos lecteurs ! (code promo sur les vases : LIGHTMEUP).

Les deux sœurs se définissent assez volontiers comme gardienne du temple des intemporels, et à ce titre, comme des créatrices « contre tendances », qui ne suivent pas les vents, adeptes du slow design et d’une « forever green fashion » ! Elles font des séries courtes, produisent peu, au fil des commandes en flux tendu, sans stock et en circuit court. Elles créent selon leur inspiration.

Nous avons eu un coup de cœur pour une lampe « colonne » en bois de Frêne aux couleurs personnalisables alliant le travail d’un artisan pour le bois et dont la finition, le système et le montage sont fait à Paris par Laura.

Aum Stories saura sans doute inspirer l’histoire de votre intérieur ou de vos atours… n’hésitez pas !

💻 Mooji, le management augmenté…

On ne quitte pas une entreprise, on quitte un manager !

Cette évidence ne résonne clairement que lorsque l’on prend un peu de recul. Et pourtant, dans 99% des cas, on quitte un management dégradé, un mauvais manager ou au pire, une organisation poussiéreuse.

Mooji s’attaque au problème par le nudge ! Mooji est une application de « micro-learning et de nudges » qui sont délivrés aux managers afin de les accompagner vers une meilleure pratique de leur métier !

Grâce à Mooji, les bénéficiaires de ses accélérateurs de soft-skills pourront rapidement mieux déléguer, avoir un bon discernement dans la gestion et la priorisation de leur temps, donner du meilleur feedback, et j’en passe !

Récemment, Ghalia Alami, la CEO de Mooji relatait que l’un de leurs clients venait grâce à eux d’augmenter son taux d’engagement de 75% après seulement deux mois et demi d’utilisation de la solution ! Et les 200 personnes ayant utilisé l’application durant cette période ont par ailleurs attesté qu’ils étaient 75% d’entre eux à avoir de meilleures relations avec leur manager, et 93% à désirer continuer à recevoir des nudges de Mooji !

Pour en savoir un peu plus sur Mooji, vous pouvez retrouver une interview de Ghalia par ici, et évidemment les rejoindre sur leur site !

⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE

Un livre : Gérald Karsenti, ancien CEO de SAP et de HP en France, actuel Advisor chez Qualium Investissement, a sorti un livre utile à tout entrepreneur, tout manager et tout actuel et futur dirigeant : « l’art de bâtir une équipe ». Et je ne vais que reprendre ses mots pour vous en faire l’article : « Bâtir une équipe est sans doute l'acte le plus complexe que doit accomplir un dirigeant. Car une fois l'équipe constituée, encore faut-il être capable de faire travailler ses membres ensemble pour atteindre des objectifs communs. Mais l'intelligence collective qui en résulte génère une force incomparable : une équipe qui la possède - ce qui suppose sacrifices et compromis - est difficilement égalable. »

Inspirant.

Un son : Un an après la sortie de leur 8ème album studio Once Twice Melody, le légendaire duo de dream-pop Beach House annonce aujourd'hui la sortie d'un nouvel EP intitulé Become, disponible exclusivement en vinyle transparent le 22 avril dans le cadre du Disquaire Day 2023 ! A propos de ce nouvel EP, le groupe déclare : « Become est une collection de 5 chansons issues des sessions du dernier album Once Twice Melody. Au départ nous ne pensions pas qu'elles s'inscrivaient dans l'univers d'OTM, mais nous avons réalisé par la suite qu'elles avaient toutes leur place dans un petit monde à part. Ce n'est pas vraiment là où nous allons actuellement, mais c'est certainement un endroit où nous sommes allés. Nous espérons que vous apprécierez ces nouveaux morceaux. »

Un autre truc : le 24 ce n’est pas seulement l’anniversaire lugubre des russeries nauséabondes, non, c’est aussi la sortie du nouvel album de Camp Claude au Silencio, à Paris. On vous remet le lien d’un clip par ici.

Pour nous retrouver, n’hésitez pas à passer par chez nous, parce que notre métier, c’est d’accompagner les entrepreneurs, ne l’oublions pas ! 😊 

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