Elodie & Nash présentent….#15
Cette Newsletter vous invite dans le monde en mouvement que nous partageons avec vous : nous y parlons d'innovation, de transformation, de grandes idées, de culture et d'entrepreneurs.
🏜 WHISPER OF THE VALLEY
👩🏼💻 Open AI et l’écriture… une histoire qui se raconte à 100 à l’heure…
⚛️ DALL-E et les médecins
🤖 Chiant comme un robot !
🍔 FOOD FOR THOUGHT
📑 L’importance de la documentation pour les startups
🌐 FRIENDS AND NETWORK
👫 Herbert Frère-Soeur… le succès d’une histoire de famille !
🧠 Intelligence émotionnelle et vente : la secret sauce d’Alexandre
🎬 Ma boite, Mon histoire : ton émission !
⭐️ TENDANCES DE LA SEMAINE
📝 EDITO
Vous avez demandé un gros bonhomme rouge avec sa hotte pleine de surprises ? Je suis votre homme !
Pas certain que je puisse être à la hauteur de notre Première ministre et sa hotte de réformes… pas certain non plus que je me cale sur Olivier Giroud, préretraité prolifique des bleus… Et absolument exclu que je vous rende l’énergie bon marché et l’inflation agréable !
Mais comme vous le savez, ce n’est pas le mandat de cette lettre hebdo, bien qu’écrite par un gros bonhomme, parfois rouge !
Bien.
Cette semaine, je vous offre une nouvelle rubrique, plus en phase avec « ce que l’on fait », chez Light Me Up, parce que c’est vrai, je n’en parle pas assez. Alors chaque semaine, dès aujourd’hui, vous trouverez, coincée entre le Whisper of the Valley et le Friends and Network, un petit Food for thought.
Voilà.
Sinon, et évidemment dans le but de vous égayer la jugeotte à bûche, nous évoquerons des copains de fêtes qui vous permettrons de mettre un peu de bonne humeur dans décembre et de beurre dans les pinards (oui, c’est comme ça qu’on dit chez moi, je suis né entre Rhône, Saône et Beaujolais, les 3 cours d’eau de Lugdunum !), d’aujourd’hui jusqu’à Noël, dans les newsletters de votre serviteur.
Les entrepreneurs mis en lumière ces semaines à venir sont pour la plupart des entrepreneurs artisans, pour coller avec le contexte, mais ne pensez pas qu’il s’agit de notre part d’un changement de paradigme !
Cette newsletter parle toujours d’inno, d’entrepreneuriat et de tech… parfois plus, parfois moins.
Et parfois, elle parle aussi d’amour, de rillettes et de ping-pong, mais juste parce que c’est bon pour la santé, dans une autre langue ou parce que vous étiez en train de vous garer.
Tout cela en parfaite cohérence avec la ligne éditoriale quoiqu’il en soit !
Alors : mettez des moufles, un cache-cou, un bonnet et des guêtres ! Va faire un froid de canard… même s’il n’y a plus de canards !
Nous nageons en plein paradoxe aviaire, comme toujours !
Prenez-soin du rock n’roll et gardez-vous du mal !
🏜️ Whisper of the Valley
👩🏼💻 Open AI et l’écriture… une histoire qui se raconte à 100 à l’heure…
Ce n'est probablement pas un secret pour ceux qui suivent de près ce qui se passe dans l’IA générative, mais il apparait évident que la façon dont un utilisateur s'interface avec des modèles et des systèmes génératifs est au moins aussi importante que la technologie. Le meilleur exemple, vient de ChatGPT d'OpenAI, outil conversationnel en NLP (langage naturel) et qui génère du texte à la demande ! Dispo en version gratuite pour quiconque veut l’essayer cette semaine ! (attention, le site était déjà en craquage lundi matin !)
Au cas où vous n'auriez pas encore vu le buzz autour de ChatGPT, il s'agit essentiellement d'une implémentation de leur nouvelle technologie de génération de langage naturel GPT-3.5, mais implémentée de telle manière que vous pouvez discuter avec elle (dans un navigateur web) comme avec un collègue ou comme si vous étiez réellement en train d’interagir avec un agent du service client sur un site Web.
OpenAI a déjà fait des vagues avec sa technologie de génération d'images DALL-E, et sa série GPT a attiré l'attention à chaque version successive (et parfois une crainte existentielle de la part des écrivains qui se voient déjà pointer à France Travail ! -on ne dit plus ANPE ni Pôle Emploi, donc !).
Mais la dernière itération de ‘chat-style’ a apparemment fait bondir sa cote et a élargi son public, faisant passer l’admiration de « wow, les étudiants de première année vont l'utiliser pour rendre des essais mauvais mais plausibles » à « wow, cela pourrait carrément m'aider à déboguer le code que j'ai l'intention de mettre en production ».
Il semblerait que quelques progrès restent à faire en matière de fact-checking, afin de ne pas tomber dans les pièges traditionnels des chatbots, mais l’avancée est énorme ! Par conséquent, son engagement dépasse les espérances, et les gens semblent être beaucoup plus impressionnés par ChatGPT qu'ils ne l'étaient par GPT-3.
Un journaliste de TechCrunch a demandé à ChatGPT de lui fournir toutes les forces et faiblesses des différents types de Pokémon, et l’AI lui a livré exactement ce que l’on aimerait tous pouvoir demander à Google à chacune de nos requêtes !
Le potentiel pour un outil comme ChatGPT d'OpenAI de supplanter éventuellement un moteur de recherche comme Google n'est pas une idée nouvelle, mais cette nouvelle version de la technologie sous-jacente d'OpenAI est l'approximation la plus proche à ce jour de la façon dont cela pourrait fonctionner réellement dans un système entièrement développé et enrichi. Et ça devrait faire trembler Google !
Petit message pour les entrepreneurs et les startups : la ruée vers l'or dans l'IA générative sera très prochainement motivée par le développement de nouvelles entreprises (solides) construites essentiellement autour de la façon dont elles se présentent, et non en rapport avec ce qui se cache sous le capot. Changement de paradigme ou arrivée du ‘AI Marketing’ ? A crAI-tive movement, for sure?
⚛️ DALL-E et les médecins (à ne pas confondre avec Wall-E et les infirmières…)
Allez, parce qu’on est définitivement dans un quart d’heure Musk (à l’échelle de la planète), il m’est obligatoire de mentionner ici les avancées liées à DALL-E, autre branche d’OpenAI en matière de recherche médicale !
L'explosion des modèles d'IA texte-image comme le DALL-E2 d'OpenAI, des programmes formés pour générer des images de presque tout ce que vous demandez, a fait des vagues dans les industries créatives, de la mode au cinéma, en fournissant des images étranges et merveilleuses à la demande.
La même technologie derrière ces programmes fait également sensation dans les laboratoires de biotechnologie, qui utilisent de plus en plus ce type d'IA générative, connue sous le nom de « modèle de diffusion », pour évoquer des conceptions de nouveaux types de protéines jamais vus dans la nature.
Aujourd'hui, deux laboratoires ont annoncé séparément des programmes qui utilisent des modèles de diffusion pour générer des conceptions de nouvelles protéines avec plus de précision que jamais. Generate Biomedicines, une startup basée à Boston, a révélé un programme appelé Chroma, que la société décrit comme le « DALL-E 2 de la biologie ».
Dans le même temps, une équipe de l'Université de Washington dirigée par le biologiste David Baker a construit un programme similaire appelé RoseTTAFold Diffusion. Dans un article publié le 1er décembre, Baker et ses collègues montrent que leur modèle peut générer des conceptions précises de nouvelles protéines qui peuvent ensuite être concrétisées en laboratoire.
"Nous générons des protéines qui n'ont vraiment aucune similitude avec les protéines existantes", déclare Brian Trippe, l'un des co-développeurs de RoseTTAFold.
Ces générateurs de protéines peuvent être dirigés pour produire des conceptions de protéines ayant des propriétés spécifiques (la forme, la taille ou la fonction).
Ils permettent d'inventer ces nouvelles protéines pour faire des travaux particuliers à la demande. Les chercheurs espèrent que ça les conduira éventuellement au développement de nouveaux médicaments plus efficaces. "Nous pouvons découvrir en quelques minutes ce qui a pris des millions d'années d'évolution", déclare Gevorg Grigoryan, le CEO de Generate Biomedicines.
"Ce qui est remarquable dans ce travail, c'est la génération de protéines en fonction des contraintes souhaitées", explique Ava Amini, biophysicienne chez Microsoft Research à Cambridge, Massachusetts.
Les protéines sont les éléments constitutifs fondamentaux des systèmes vivants. Chez les animaux, ils digèrent les aliments, contractent les muscles, détectent la lumière, stimulent le système immunitaire et bien plus encore. Lorsque les gens tombent malades, les protéines jouent un rôle.
Les protéines sont donc des cibles privilégiées pour les médicaments.
Et bon nombre des médicaments les plus récents d'aujourd'hui sont eux-mêmes à base de protéines. "La nature utilise des protéines pour pratiquement tout", explique Grigoryan. "La promesse qui s’offre aux interventions thérapeutiques est vraiment incroyable et sans limite."
Mais les concepteurs de médicaments doivent actuellement s'appuyer sur une liste d'ingrédients composée de protéines naturelles. L'objectif de la génération de protéines est d'étendre cette liste avec un pool presque infini de protéines conçues par ordinateur. Et l’on voit déjà poindre le débat normatif et les contraintes éthiques !
Les techniques de calcul pour concevoir des protéines ne sont pas nouvelles. Mais les approches précédentes ont été lentes et peu efficaces pour concevoir de grandes protéines ou des ‘complexes protéiques’ (des machines moléculaires composées de plusieurs protéines couplées ensemble). Et ces protéines sont souvent cruciales pour le traitement des maladies.
Elon fait donc des émules et ces travaux-ci sont donc à suivre…
🤖 Chiant comme un robot !
On vous a montré des robots drones, autonomes qui volent qui sautent qui prennent des objets fragiles, qui opèrent à l’autre bout de la planète… et pourtant, les robots sur lesquels mise Google en ce moment, sont hyper chiants !
Un projet de « X moonshot factory » l’usine à tirs lunaires autoproclamée de Google, s’attaque à la robotique par le prisme des tâches ménagères collectives. Une expérience a été menée dans un café où une armée de robots armés de raclettes et autres éponges font le ménage et débarrasse les tables après le passage de clients qui ne prêtent même plus attention aux nouveaux ouvriers mécaniques connectés.
Le projet (pas si chiant que ça !) prétend rendre utile et fiable, l’utilisation de robots en milieu « vivant » non contrôlé, loin des environnements traditionnels de tests de robots : là, au cœur du campus de Mountain View, alors que les équipes de Google se sont remises au travail présentiel, le terrain de jeu est parfait !
C’est une étape importante pour Everyday Robots qui lâche enfin dans le « monde », ses robots après plusieurs années de préparation ! Et les progrès sont là ; il y a deux ans, les robots n’étaient que capables de trier les déchets ! Aujourd’hui, ils sont capables de bien plus.
Everyday Robots essaie de faire deux choses vraiment difficiles :
Premièrement, à exécuter de manière crédible les tâches venant en aide aux humains.
Everyday Robots est sur le fil du rasoir du paradoxe de Moravec, qui stipule qu'il est relativement facile pour les ordinateurs d'effectuer un travail cognitif difficile et diablement difficile de dupliquer les fonctions d'un enfant de deux ans. Sur quel pied danser, donc !?
Ailleurs sous l'égide d'Alphabet, les robots empruntent des voies de circulation compliquées, conduisent des automobiles de manière plus sûre que les humains et deviennent les champions du Go.
Dans le monde des robots de tous les jours, conquérir une tâche banale, comme traverser une pièce encombrée et ouvrir une poignée de porte délicate, revient à gagner Roland Garros !
Le fait de nettoyer la table, par exemple, n'est pas seulement le mouvement de ‘balayage’, elle comprend toute une série d'actions qui y mènent. Prenez ce qui se passe lorsque le chemin est bloqué par un humain ou un objet. « La question/réponse appropriée pour le robot est, OK, ai-je assez d'espace pour contourner simplement l’obstacle ? » nous explique Darcy Grinolds, qui dirige l'équipe ‘project’s hardware reliability and design validation’. « Ou alors, dois-je me réorienter complètement ? »
- La deuxième chose difficile que le projet tente de faire est d'atteindre cet objectif afin qu'il soit plus logique, en termes d'économie et d'efficacité, d'avoir un robot sous la main qu'un humain sous-payé qui s’emmerde.
Et ce n’est pas une mince affaire !
Google (et maintenant Google via « X ») poursuit cette vision depuis plus de 10 ans. Et c’est à Hans Peter Brondmo, entrepreneur et ingénieur Norvégien qui a rejoint Google en 2015, qu’il revient de coordonner les éléments dysfonctionnels de la razzia commise par la firme en matière d’achat de compagnies opérant dans la robotique depuis des années ! Cette cacophonie d’acquisitions avait fini par tuer dans l’œuf certains projets. Le boulot de Rondmo, maintenant, c’est de construire pour Google, un robot polyvalent, réellement efficace en milieu non contrôlé, puisque c’est apparemment possible de le faire !
🍔 Food For Thought
📑 L’importance de la documentation pour les startups !
Il est souvent trop tard pour s’apercevoir de l’importance de la documentation au sein des startups. C’est une contrainte, un « truc à faire » que l’on remet toujours aux calendes grecques, et c’est souvent un truc que l’on fait par-dessus la jambe. C’est souvent aussi à l’occasion d’un post-mortem que l’on s’aperçoit que le problème dans l’incapacité que l’on a eu à régler un bug vient du fait que la documentation dédiée à régler ces problèmes était fausse, mal faite ou partiellement inexistante.
Toutes les startups tech, grosses ou petites, early ou étant déjà passée à l’échelle, ont un regard suffisant pour leur documentation.
Or, tout comme devrait l’être un « pitch deck », une bonne documentation est un élément organique, vivant et évolutif de l’entreprise.
Comme l’a écrit David Nunez (ex-doc leader chez Stripe, Uber ou SalesForce), « il y a une prise de conscience dans l’entreprise pour une bonne documentation, quand quelque chose de terrible vient de se passer ! Et c’est souvent trop tard ! ».
En termes de management, les premiers collaborateurs qui pouvaient passer du temps à documenter ce qu’ils construisaient dans les premières heures de l’entreprise, au fur et à mesure de l’arrivée de nouveaux collaborateurs, du changement de fonctions, etc, le temps de ceux qui construisaient au départ est de plus en plus dépensé à répondre à des questions, ou à des obligations managériales et… la documentation se perd.
La création d’une bonne documentation est donc avant tout une question de culture et Nunez pose les étapes principales d’une stratégie, de la création des docs à l’incentive à l’égard des ingénieurs qui doivent l’alimenter tout au long des process.
Cette culture et l’incentive sont d’ailleurs la première étape : il faut encourager à l’écriture régulière et à l’alimentation de la documentation.
Penser comme pour un MVP : de quoi a-t-on eu besoin à chaque étape, au jour le jour, et pas « supposer » ce dont on aurait pu avoir besoin pour le résultat final, afin d’être exhaustif.
Organiser la documentation, structurer celle-ci et ne pas laisser se diffuser une doc au bon vouloir, tous azimuts, qui transforme le tout, assez vite en enfer !
« Faire » et ne pas « dire qu’on va faire » : en gros, ne pas attendre d’avoir lancé la feature pour la documenter, mais le faire au fil de l’eau ! sans quoi, comme les bonnes résolutions de début d’année, votre documentation ne verra jamais le jour !
(source First Round Review)
🌐 Friends and Network
👫 Herbert Frère-Soeur… le succès d’une histoire de famille !
J’ai connu Camille lorsque nous œuvrions tous deux à la mise en lumière d’artistes et que la scène était notre oxygène. Elle est même devenue agent d’artiste, productrice et éditrice de musique ; elle a monté des événements de folie dans les nuits de Paris, en musique, toujours animée d’une passion contagieuse !
Puis Camille Herbert a changé de vie.
Après avoir lancé Facette, en 2013, elle s’associe avec son frère pour reprendre et pérenniser l’atelier de maroquinerie familiale ouvert à Fougère en 1977. Ils lancent tous deux Herbert Frère Sœur, que vous avez peut-être découvert (pour les parisiens) rue Jean-Jacques Rousseau ou dans les grands magasins où leurs corners ne manquent jamais d’accrocher l’œil !
Herbert Frère-Sœur, ce sont des sacs, des bananes, des porte-cartes, de ceintures, à la personnalité forte et à l’abord facile, comme s’il s’agissait de se parer d’une évidence. Ils disent d’eux-mêmes, Camille et Flavien, « Herbert Fère-Sœur, c'est une famille au cuir à la fois épais, robuste et doux, un cuir pleine fleur qui se patine avec le temps, au tannage aussi inaltérable que la fratrie. »
C’est poétique, c’est beau, et c’est vrai.
A l’approche des fêtes, je ne peux que vous recommander d’aller à la rencontre de l’univers de ces entrepreneurs si vous ne les connaissez pas encore ! Il y en a pour tous les goûts, comme dans une famille : les tradi, les sexy, les petits nouveaux, les pièces rapportées, les originaux, ceux qui ne font que passer, ceux qui sont fun, ceux qui sont rock, les bosseurs, les noctambules, les passe partout, ceux qui remontent le moral et tous ceux qu'on a envie d'avoir avec soi tout le temps.
🧠 Intelligence émotionnelle et vente : la secret sauce d’Alexandre
La vente, c’est toujours le truc que tout le monde décrit comme une priorité et que tout le monde traite par-dessus la jambe !
Je le sais : j’ai été commercial ! Parmi les pires du monde : celui du fond collé au chauffage, qui explose ses chiffres sans rien foutre, juste parce qu’il a une zone de chalandise qui sur-performe… hantise des directeurs de vente, plomb dans l’équipe de commerciaux… bref : je connais.
En tant qu’entrepreneur : pas mieux ! recruter pour vendre ? Depuis 15 ans, je n’ai pas de success story à vous raconter. Le prendre à sa charge ? Evidemment, mais ça m’em…nuie !
Et je m’en suis confié à Alexandre Mengual, fondateur de WithinSales et de la holding Asnoli, spécialiste de la vente. Et Alexandre, en expert de la vente, de la structuration des équipes de ventes, et en gourou des outils de performance liés à la vente, m’a ouvert les yeux !
Son truc ? Aider ses partenaires à s’approprier la force de l’intelligence émotionnelle dans leurs cycles de vente, afin qu’ils augmentent le montant moyen de leurs opportunités de ventes, qu’ils optimisent la durée de leurs cycles de ventes, et qu’ils améliorent leurs taux de transformation lors de leurs négociations commerciales ! Rien que ça.
Un discours souvent entendu, rarement vérifié dans la réalité. C’est là qu’Alexandre, avec WithinSales dépasse toutes les attentes : ça marche. A condition de s’en donner les moyens : ouverture d’esprit et ouverture du porte-monnaie. Comme me le disait Alexandre « si tu veux dégager un millions d’euros supplémentaire, tu dois engager 30% de cette somme en force de vente »… ou un truc comme ça ! C’est lui le spécialiste : allez donc frapper à sa porte !
🎬 Ma boite, Mon histoire : ton émission !
Cette semaine, c’est le fondateur du Site du Zéro, Mathieu Nébra qui se raconte sans se la raconter, dans Ma boite, Mon histoire, pendant près d’une heure.
Il retrace tout le chemin qui le mène depuis ses 13 ans et son amour du code, son envie de transmettre et sa persévérance à la B Corp OpenClassrooms dont il est le co-fondateur avec Pierre Dubuc.
OpenClassrooms transforme tant de vies, tant de destins, de gens qui viennent se former pour trouver un emploi, chaque jour, que l’envie qu’avait ce gamin de 13 ans de rendre le savoir disponible, la connaissance accessible, en démocratisant la formation, cette envie est aujourd’hui plus qu’une réalité, c’est un succès monstre !
Venez donc l’écouter : c’est inspirant et rafraîchissant !
⭐️ Tendances de la semaine
Un livre : «How will you measure your life?» de Clayton Christensen, comme boussole personnelle pour mener une vie épanouie, tirée de beaux exemples de la vie des entreprises, ce livre est l’un des rares qui a « profondément influencé » Steve Jobs. Et moi aussi ! Si, si ! Comme toujours avec Christensen (qui nous a quittés il y a bientôt 3 ans), grand maître de l’innovation, on a là l’occasion de s’instruire en prenant du plaisir : c’est écrit avec légèreté, avec cette facilité qu’il a toujours eu de faire passer des concepts compliqués pour de simples évidences amusantes ! A lire again and again!
Un son : Ca y est, c’est le marronnier de Bretagne qui tinte bon la nouveauté, la découverte et le coup de pied au cul : les Transmusicales de Rennes débutent cette semaine du 7 au 11 décembre ! De notre côté, on fait comme à Avignon, on regarde le OFF et l’on se penchera sur les BARS EN TRANS pour aller écouter à nouveau notre copine Julia Jean-Baptiste qui profite de ce décembre breton pour nous annoncer son album pour début 2023 (que vous pouvez déjà aller commander par ici)
Un autre truc : ma copine chanteuse Barbara Carlotti qui a d’ailleurs offert ses premières parties parisiennes à Julia dont on parlait à l’instant, organise une brocante de ouf pour votre plus grand plaisir : éléments de décors de ses tournées, albums en vinyles, affiches de concerts signées Christophe Blain pour son album Magnétique, des goodies, des robes de scène, des dessins originaux et signés. Et le 9 décembre, à 18h, c’est le vernissage ! En présence de Barbara, autour d’un verre, pour évoquer notamment la sortie prochaine de son livre (2023) ou les albums à venir… C’est à la Galerie Oblique Nuage, dans le 20ème arrondissement de Paris, 19, rue de la Mare. Alors pour finir l’année en poésie et économie circulaire, on y go, les nigauds !